Cliquez ici >>> 🌖 un peu de chaleur en dessus de page

Siderrière on a un Ă©tĂ© chaud, une rĂ©gression très importante est attendue. Ça s’est dĂ©jĂ  vu, mais ça se rĂ©pète un peu trop souvent », dĂ©plore Bienconnue pour sa fraicheur estivale rĂ©calcitrante, la Bretagne va faire face, lundi 18 juillet, Ă  une vague de chaleur sans prĂ©cĂ©dent, explosant un nombre important de records de chaleur. "La journĂ©e du lundi va rentrer dans l'histoire. La masse d'air au-dessus de la Bretagne est surchauffĂ©e dans des proportions exceptionnelles. Del’extĂ©rieur, on dirait presque une piscine tellement le bâtiment est esthĂ©tique. En fait, Ă  l’intĂ©rieur, ECLA (Énergie Clermont Avenir), filiale de Cofely Services, a installĂ© quatre chaudières, 2 chaudières bois, une Ă  gaz et une dernière mixte gaz/fioul domestique pour alimenter un rĂ©seau de chaleur capable de chauffer trois quartiers de Clermont-Ferrand, soit plus de 10 Ily a un mois, nous Ă©tions au Cambodge. Beaucoup de monde malgrĂ© le fait que les chinois n'Ă©taient pa Beaucoup de monde malgré le fait que les chinois n'étaient pa Thème : Tasseen liège Sous - verres en bois Bouclier thermique RĂ©sistant Ă  la chaleur. Pro. 5,48 EUR. + 0,59 EUR livraison. 5 % DE REDUCTION SUPPLEMENTAIRE Afficher tous les objets admissibles et les conditions. Passez la souris pour agrandir. Image non disponible. Site De Rencontre SĂ©rieux Jeune Gratuit. ActualitĂ©s SantĂ© Forme et bien ĂŞtre Par Mis Ă  jour le 08/06/2021 Ă  1521 PubliĂ© le 22/07/2013 Ă  1837 La sueur provoquĂ©e par la chaleur Ă©vacue des vitamines et des minĂ©raux. Essentiellement du chlorure de sodium. Cette baisse de la concentration minĂ©rale, notamment en sodium, affecte rapidement notre mĂ©tabolisme. On se sent faible, un peu mou». 72622943/hikrcn - Fatigue, perte d'appĂ©tit, nausĂ©es, ou encore Ă©vanouissements les mĂ©canismes corporels de lutte contre la chaleur ne sont pas sans consĂ©quence sur notre santĂ©. Bien que notre tempĂ©rature interne soit de 37 °C, nous avons trop chaud dès que le mercure dĂ©passe 25 °C. Et pour cause notre corps est une vraie chaudière. Le maintien des fonctions vitales ainsi que les activitĂ©s physiques et cĂ©rĂ©brales nĂ©cessitent des rĂ©actions chimiques qui dĂ©gagent beaucoup de chaleur. L'air extĂ©rieur, comme il est plus frais, nous permet normalement d'Ă©vacuer une grande partie de cette Ă©nergie, un peu comme le système de refroidissement du moteur de votre voiture. Mais lorsque l'air est trop chaud, les Ă©changes thermiques sont moins bons nous sommes en surchauffe. Deux mĂ©canismes permettent de refroidir le corps l’augmentation du dĂ©bit sanguin et la transpiration Deux mĂ©canismes couplĂ©s se mettent alors en Ĺ“uvre pour augmenter l'efficacitĂ© du refroidissement corporel. Le dĂ©bit sanguin augmente dans les vaisseaux situĂ©s le plus en surface. Cela permet d'Ă©vacuer la chaleur de l'intĂ©rieur du corps vers la surface. Parallèlement, les glandes sudoripares sĂ©crètent un mĂ©lange d'eau et de minĂ©raux qui s'Ă©coule par les pores de la peau la sueur. Ce liquide va Ă©vacuer la chaleur surfacique en s'Ă©vaporant. Notre corps peut Ă©vacuer environ un litre par heure en conditions extrĂŞmes jusqu'Ă  2,5 litres pour un marathonien entraĂ®nĂ©. » LIRE AUSSI - Canicule pourquoi le sel peut ĂŞtre un bon alliĂ© contre la dĂ©shydratation Perte de l'appĂ©tit Cette perte en eau peut provoquer un syndrome de dĂ©shydratation associĂ© Ă  diffĂ©rents symptĂ´mes tels que des maux de tĂŞte, des nausĂ©es, voire une dĂ©gradation des capacitĂ©s physiques ou intellectuelles. La sueur Ă©vacue aussi des vitamines et des minĂ©raux. Essentiellement du chlorure de sodium - c'est pour cela que la sueur est salĂ©e. Cette baisse de la concentration minĂ©rale, notamment en sodium, affecte rapidement notre mĂ©tabolisme. On se sent faible, un peu mou». Ce sentiment d'inconfort peut nous rendre irritable. Notre cerveau utilise en plus beaucoup de ressources pour maintenir notre tempĂ©rature Ă  un niveau qui ne doit pas varier de plus d'une fraction de degrĂ©. Cela renforce le sentiment de fatigue gĂ©nĂ©rale. Cette sensation est encore aggravĂ©e par les troubles du sommeil provoquĂ©s par la canicule. En effet, notre cerveau a plus de difficultĂ© Ă  rĂ©guler notre tempĂ©rature lorsqu'on dort, ce qui le pousse Ă  se rĂ©veiller en cas de grosse chaleur. Nous avons aussi inconsciemment le rĂ©flexe d'Ă©viter au maximum les activitĂ©s qui consomment de l'Ă©nergie et nous font monter en tempĂ©rature. D'oĂą une certaine lĂ©thargie, Ă©videmment, mais aussi la perte de l'appĂ©tit. La digestion est une activitĂ© qui dĂ©gage beaucoup de chaleur et notre cerveau le sait. Cela explique aussi pourquoi l'on se tourne plus volontiers vers les fruits et lĂ©gumes, plus faciles Ă  digĂ©rer que les protĂ©ines ou les lipides. » LIRE AUSSI - Hydrocution faut-il attendre trois heures pour se baigner après un repas? Le coup de chaleur quand la machine s’emballe La dilatation des vaisseaux sanguins pĂ©riphĂ©riques peut quant Ă  elle conduire au gonflement des extrĂ©mitĂ©s les mains et les pieds. Dans les cas extrĂŞmes, la station debout prolongĂ©e peut provoquer une diminution du volume sanguin central contenu dans la cage thoracique et amener Ă  une perte de conscience brutale la syncope de chaleur. Lorsque le corps n'arrive plus Ă  se refroidir, sa tempĂ©rature augmente dangereusement c'est le coup de chaleur, gĂ©nĂ©ralement liĂ© Ă  une hyperthermie dĂ©passant 40 °C, des vomissements et un arrĂŞt de la sudation. Cet Ă©tat peut vite entraĂ®ner des dĂ©faillances des reins et du foie ainsi que des troubles de la circulation sanguine. En l'absence de prise en charge mĂ©dicale immĂ©diate, le patient risque tout simplement de mourir. Les 7 conseils anti coup de chaleur Bien dormir malgrĂ© la chaleur Les fausses bonnes idĂ©es en pĂ©riode de chaleur Lorsqu'il fait très chaud pendant plusieurs jours, on parle de canicule. Dans ces circonstances, le corps dĂ©clenche des mĂ©canismes d’adaptation comme la transpiration. Toutefois, certains individus demeurent plus fragiles face Ă  ces Ă©pisodes de forte chaleur personnes âgĂ©es et/ou dĂ©pendantes, nourrissons, etc. Vague de chaleur et canicule quelles diffĂ©rences ? L'expression vague de chaleur » recouvre diverses situations. Le pic de chaleur La chaleur est intense, mais ne dure qu'un ou deux jours. L'Ă©pisode persistant de chaleur Les tempĂ©ratures sont Ă©levĂ©es pendant plus de trois jours, mais ne dĂ©passent pas les seuils dĂ©partementaux d'alerte combinaison des tempĂ©ratures minimales de nuit et maximales de jour, avec moyenne sur trois jours. La canicule C'est une pĂ©riode caractĂ©risĂ©e par une très forte chaleur qui dure trois jours consĂ©cutifs au moins ; reste constante jour et nuit la tempĂ©rature nocturne est identique Ă  celle relevĂ©e pendant la journĂ©e, ou baisse très peu. Les seuils dĂ©partementaux d'alerte sont dĂ©passĂ©s pendant trois jours et trois nuits ; peut devenir extrĂŞme par sa durĂ©e et son intensitĂ©. Ces conditions mĂ©tĂ©orologiques peuvent ĂŞtre difficiles Ă  supporter, en particulier au dĂ©but de la pĂ©riode, car le corps n’est pas encore habituĂ© aux tempĂ©ratures Ă©levĂ©es ; quand la canicule s’accompagne d’humiditĂ©, d’une absence de vent et/ou d’une pollution atmosphĂ©rique. ÉtĂ© 2021 des tempĂ©ratures contrastĂ©es L’étĂ© 2021 a Ă©tĂ© marquĂ© par un mois de juin très chaud. Ă€ l’inverse, les mois de juillet et aoĂ»t ont connu plusieurs refroidissements marquĂ©s, en alternance avec quelques Ă©pisodes de fortes chaleurs dont une vague de chaleur du 10 au 16 aoĂ»t 2021. Seuls 9 dĂ©partements ont connu une vague de chaleur ce qui reprĂ©sente 12 % de la population mĂ©tropolitaine DrĂ´me, Isère, RhĂ´ne, Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Vaucluse, Bas-Rhin, PyrĂ©nĂ©es-Orientales et Gard. Pendant les vagues de chaleur survenues en pĂ©riode d'Ă©pidĂ©mie de Covid-19, 239 dĂ©cès en excès ont Ă©tĂ© constatĂ©s dans ces dĂ©partements et ont concernĂ© le plus souvent des personnes de plus de 75 ans. Comment le corps rĂ©agit-il en cas de fortes chaleurs ? L’organisme cherche Ă  s’adapter Ă  la canicule. Ainsi, dès que la tempĂ©rature corporelle dĂ©passe 37 °C, le corps met en action des mĂ©canismes de rĂ©gulation thermique le corps se met Ă  transpirer et la respiration s’accĂ©lère la chaleur est alors Ă©liminĂ©e via l’eau et la vapeur d’eau rejetĂ©es ; les vaisseaux sanguins situĂ©s Ă  la surface de la peau augmentent de diamètre vasodilatation pour refroidir le sang. Ce processus vise Ă  Ă©viter l’apparition de problèmes de santĂ© liĂ©s aux tempĂ©ratures Ă©levĂ©es. Afin qu’il puisse jouer pleinement son rĂ´le l’organisme doit ĂŞtre rĂ©gulièrement hydratĂ©, pour permettre la production de sueur ; l’air ambiant doit de prĂ©fĂ©rence ĂŞtre brassĂ© par un ventilateur, par exemple, pour favoriser l’évaporation de la sueur prĂ©sente sur la peau. Quelles sont les personnes les plus fragiles face Ă  la canicule ? Certaines personnes supportent moins bien les fortes chaleurs. Les femmes enceintes et surtout les nourrissons fragiles en cas de fortes chaleurs En cas de forte chaleur, une bonne hydratation est indispensable lors de la grossesse. Jusqu’à l’âge de 4 ans, le corps des enfants contient proportionnellement plus d’eau que celui d’un adulte, et en perd davantage via la peau et l’air expirĂ©. En outre, chez les bĂ©bĂ©s, 25 % de l’eau de l’organisme est Ă©vacuĂ©e chaque jour, pour ĂŞtre renouvelĂ©e contre 6 % chez l’adulte. Ces diffĂ©rents facteurs accentuent le risque de dĂ©shydratation. Les personnes âgĂ©es de plus de 65 ans ou ayant perdu leur autonomie peu rĂ©actives face Ă  la chaleur Les personnes âgĂ©es perçoivent moins bien la chaleur et leur sensation de soif est attĂ©nuĂ©e, mĂŞme lorsqu’elles ont besoin de boire. Leur capacitĂ© Ă  transpirer diminue Ă©galement. Les personnes en perte d'autonomie doivent souvent rester dans leur lit ou leur fauteuil, et dĂ©pendent d’autrui pour les actes du quotidien. Aussi, elles adaptent plus difficilement leur comportement Ă  la chaleur. Les personnes prĂ©sentant certaines maladies ou prenant certains mĂ©dicaments La chaleur peut ĂŞtre plus pĂ©nible Ă  supporter ou accentuer certains symptĂ´mes en cas de maladie chronique ex. maladie de Parkinson, maladie cardiovasculaire, suites d’un AVC, asthme ; obĂ©sitĂ© de l’adulte ; dĂ©nutrition apports alimentaires insuffisants pour couvrir les besoins de l’organisme ; maladie aiguĂ« infection par exemple au moment de la vague de chaleur ; troubles mentaux dĂ©mence, maladie d'Alzheimer ou du comportement ; difficultĂ©s d’orientation et/ou de comprĂ©hension, pouvant entraĂ®ner une mĂ©connaissance des risques engendrĂ©s par la canicule. Il existe Ă©galement des traitements mĂ©dicamenteux qui peuvent majorer les effets de la canicule, ou gĂŞner l’adaptation du corps Ă  la chaleur, par exemple l’aspirine Ă  partir de 500 mg par jour, qui perturbe parfois le fonctionnement des reins organes assurant l’équilibre hydrique du corps, c’est-Ă -dire la rĂ©gulation des entrĂ©es et sorties d’eau ; les , qui risquent d’accentuer une Ă©ventuelle dĂ©shydratation ; les neuroleptiques traitant certains troubles mentaux, qui modifient la rĂ©gulation thermique de l’organisme dans certains cas ; les antimigraineux quelquefois, ils empĂŞchent la vasodilatation ou rĂ©duisent la transpiration. Quelles sont les personnes surexposĂ©es Ă  la chaleur ? Certaines pesonnes sont plus vulnĂ©rables Ă  la chaleur en raison de leurs conditions de vie. Les personnes vivant en milieu urbain et/ou en logements mal isolĂ©s thermiquement Vivre en ville, surtout si l'habitat est dense et mal isolĂ© ex. appartement vĂ©tuste, sous les toits est un facteur de surexposition Ă  la chaleur. L'exposition Ă  un Ă©pisode de pollution de l'air ambiant aggrave la situation. Les professionnels travaillant Ă  l’extĂ©rieur ex. maçons, couvreurs exposĂ©s Ă  la chaleur et les sportifs Ces travailleurs peuvent ĂŞtre plus vulnĂ©rables aux fortes chaleurs. Ce risque touche aussi ceux qui exercent leur mĂ©tier dans des espaces fermĂ©s oĂą la tempĂ©rature reste Ă©levĂ©e. Les sportifs sont Ă©galement vulnĂ©rables en raison des efforts physiques intenes qu'ils ont Ă  fournir. Les personnes en situation de prĂ©caritĂ©, sans domicile ou en situation d'isolement La canicule affecte davantage ceux qui vivent sans-abris ou très isolĂ©s, notamment s’ils ne peuvent accĂ©der Ă  aucun endroit frais ou climatisĂ©. Vous informer durant un Ă©pisode de canicule Pour rester bien informĂ© durant un Ă©pisode de fortes chaleurs, vous pouvez contacter la plate-forme tĂ©lĂ©phonique "Canicule info service" au 0 800 06 66 66, du lundi au dimanche de 9 Ă  19 heures appel gratuit depuis un poste fixe ; suivre rĂ©gulièrement le bulletin mĂ©tĂ©orologique, par exemple par tĂ©lĂ©phone au 32 50 2,99 € / appel + prix appel ; consulter la vigilance mĂ©tĂ©orologique sur RecoSantĂ© ; vous adresser Ă  votre mairie, qui vous communiquera notamment les possibilitĂ©s d’aide aux personnes dĂ©pendantes, et la liste des lieux publics climatisĂ©s de votre commune. SommaireArticle suivant > Ministère des SolidaritĂ©s et de la santĂ©. Canicule et fortes chaleurs. Site internet Ministère des SolidaritĂ©s et de la santĂ©. Paris ; 2022 [consultĂ© le 14 juin 2022] Ministère des solidaritĂ©s et de la santĂ©. Ministère de l'intĂ©rieur. Ministère du travail. Ministère de la transition Ă©cologique et solidaire. Instruction interministĂ©rielle du 29 mai 2020 relative Ă  la gestion des Ă©pisodes de canicule durant la prochaine saison estivale dans un contexte de Covid-19 SantĂ© publique France. Fortes chaleurs et canicule. Site internet SantĂ© publique France. Saint-Maurice France ; 2022 [consultĂ© le 14 juin 2022] Ministère des Affaires sociales et de la SantĂ© - Canicule et chaleurs extrĂŞmesMĂ©tĂ©o France - Carte de vigilance Comment identifier et traiter les maladies liĂ©es Ă  la canicule ? Que faire en cas de canicule ou de fortes chaleurs ? Harry Potter 2005 ~¤~ AcadĂ©mie de Poudlard ~¤~ Les couloirs BibliothèqueElhiya EllisPersonnelSte-Mangouste Re La nuit dans la bibliothèqueElhiya Ellis, le Sam 16 Sep - 1729 D'un très lĂ©ger poufement de rire, Elhiya s'etait blotti doucement dans les bras qu'elle avait sollicitĂ© un peu plus tĂ´t. Rien de plus que cette chaleur lui Ă©tait nĂ©cessaire, du jour oĂą il avait posĂ© les yeux elle, et jusqu'a ce qu'il ne le pourrait plus. Rien de plus n'Ă©tait utile en cet endroit, rien de plus n'existait en ce moment. Pas mĂŞme les anneries qui s'Ă©chappaient des lèvres du garçon. Pas mĂŞme son manque d'analyse alors qu'il se targuait d'ĂŞtre extrelent logique en toute circonstance. Ses lèvres avaient dessinĂ©es un lĂ©ger sourir amusĂ© alors que les yeux clos, elle se pelotonnait un peu plus. "C'est dĂ©jĂ  acceptĂ© depuis longtemps. Sans quoi tu ne serais pas la.."Comme si son temperament enflammĂ© Ă©tait suffisament domptable pour tolĂ©rer une chose qu'elle ne supportait pas. Ses palabres, cette fâcheuse habitude Ă  toujours vouloir avoir raison, ce sĂ©rieux bien trop prĂ©sent qui l'empĂŞchait de se contenter de rĂ©pondre de facon simple, cette manie stupide de lui voler un simple baiser en public, faisaient parti d'un tout qui le composait lui. Or c'etait le lui au complet qui lui plaisait, qui envahossait chacune de ses pensĂ©es et son ĂŞtre. En aucun cas, mĂŞme si elle le taquinait, changer une once de ce qu'il Ă©tait ne lui serait venu Ă  l'esprit. Son Ă©treinte se ressera doucement, lui permettant de profiter un peu plus de sa chaleur et sa prĂ©sence. Unique besoin Ă©goĂŻste que mĂŞme quelques ombres ne pouvait bibliothèque n'Ă©tait très certainement pas le lieu idĂ©al pour rĂ©clamer rĂ©confort et soutient. Mais un nouveau passage dans la salle sur demande aurait Ă©tĂ© une très mauvaise idĂ©e vu la situation. Aussi, se contentant de rĂ©pondre Ă  des propres envies, la blonde s'etait a nouveau emparĂ©e des lèvres du jeune homme. Elle lui avait demandĂ© d'ĂŞtre prĂ©sent, de se taire et de la prendre dans les bras afin de faire disparaĂ®tre le monde qui les entourait. Maintenant qu'il accĂ©dait enfin Ă  sa requĂŞte, plus rien ne comptait [Fin du rp pour nous deux - Merci mon Chaton] Artemis WildsmithPoufsouffle Re La nuit dans la bibliothèqueArtemis Wildsmith, le Sam 4 Nov - 1147 Nos cĹ“urs Ă  la dĂ©riveAvec MaryPuis il avait eu le courage, plus ou moins, si on pouvait appeler ça ainsi. Au moins de planter le contexte, d’essayer de faire quelque chose, aucune idĂ©e s’il irait vraiment jusqu’au bout. L’angoisse, il y allait carrĂ©ment Ă  reculons. Escapade dans les couloirs, mĂŞme les tableaux semblaient l’accompagner dans la mĂ©lancolie, comme s’ils se figuraient la soirĂ©e funeste. Après tout ce qu’il s’était passĂ©, les flashs remontaient trop brutalement, Ă  la limite du haut-le-cĹ“ur. Il avait tout fait de travers, et il ne pouvait pas tout dire. Certaines choses demeureraient secrètes. A jamais. Il se dĂ©testait, encore plus depuis qu’il avait pris cette dĂ©cision, d’avouer. Avant ce n’était qu’illusion, comme si ça ne s’était pas rĂ©ellement passĂ©, il aurait pu se forcer Ă  croire Ă  un mirage. Ça n’avait rien de tangible puisqu’elle ne savait pas. Alors le cĹ“ur lourd il pousse la porte de la bibliothèque, ouverte magiquement pour l’occasion. Quelques regards pour vĂ©rifier qu'il n'y avait personne aux alentours. Il s’était dit que dans le noir il aurait plus de force, face cachĂ©e, il n’enclenche mĂŞme pas le Lumos alors qu’il parcourt la bibliothèque. Il se cogne ici et lĂ , ce n’est pas grave, il sait qu’il est en avance, il fallait qu’il prĂ©pare, qu’il y pense, aux mots couperets. Parce que pour l’instant c’était encore bien trop flou dans sa tĂŞte. Il choisit une table, celle-ci n’est pas mal. Il s’y installe, posture d’attente. C’est qu’il fait plutĂ´t froid ce soir. Il se laisse engourdir par le silence de la vaste salle. C’est que le choix de l’endroit n’était pas anodin, c’était lĂ  qu’il l’avait vue la première fois, qu’il s’était senti Ă©trangement diffĂ©rent Ă  ses cĂ´tĂ©s. Pourtant, en un clignement d’yeux, il tente d’évaporer les souvenirs. Il lui devait ça, des explications. Il se met Ă  pianoter le bois de la table. Pas tellement un signe d’impatience mais de nervositĂ©, plutĂ´t. Il aimerait bien, juste pour cette fois, faire appel aux pouvoirs de la science-fiction, mettre son cerveau en pause afin de faire un bon dans le futur, de quelques heures. Pour ne pas avoir Ă  vivre les prochains instants, qu’il imaginait douloureux. Ou alors de faire un deal avec le Arty du futur, qu’il lui spoil un peu ce qui allait se dĂ©rouler dans cette bibliothèque dĂ©serte. Le problème c’est qu’à ce moment, il n’y avait que lui, le Arty du prĂ©sent, et il n’en menait pas remue, ne peut tenir en place, il voit les futures secondes en perspective comme un bĂ©lier fou se ruant sur lui, aucune chance de l'arrĂŞter. Puis, tĂŞte entre les mains, il soupire. DĂ©cidĂ©ment, il n’était pas dans son assiette, son cĹ“ur se met Ă  se tortiller, par petits bonds, alors qu’il sent les minutes avancer. Elle n’allait plus tarder, si elle venait. C’est vrai, il ne s’était pas fait Ă  cette possibilitĂ©, qu’elle refuse. Sait-on jamais. Mais elle ne savait rien, sĂ»rement, ne se doutait de rien. Quoi qu’il aurait pu Ă©crire un mot plus chaleureux, il avait dĂ©jĂ  fait mieux. Ce n’était peut-ĂŞtre pas l’aveu qui l’angoissait tant. Parce que c’était facile de juste dire ce qu’il s’était passĂ©, il s’était prĂ©parĂ© Ă  toute Ă©ventualitĂ© de retour. Non, il craignait surtout de ne rien dire. De continuer ainsi, de ne pas oser finalement alors qu’elle se retrouverait juste devant lui. Parce qu’il s’il y a une chose dont il Ă©tait absolument certain c’était qu’il allait fondre devant Mary, elle ne mĂ©ritait pas tout ça, il faudrait qu’il se reprenne ensuite, qu’il souffle avant de se lancer, de sauter. Finalement, une lueur Ă©clatante lui traverse l’esprit. Peut-ĂŞtre qu’il n’avait rien fait de mal, que ce n’était rien, que c’était rĂ©cupĂ©rable, s’il le voulait vraiment. Que ce n’était pas important, un simple dĂ©tail Ă  discuter. Qu’elle lui tout, pourquoi pas. GaĂ«lle PanyellaSerdaigle Re La nuit dans la bibliothèqueGaĂ«lle Panyella, le Mer 8 Nov - 1800 La joie au bord du coeur elle se dĂ©pĂŞche, souriant dans la pĂ©nombre, après avoir lu une dernière fois les mots qui lui avaient Ă©tĂ©s donnĂ©s. Ce n'est pas une bonne journĂ©e, et pourtant, avec un simple hibou, Arty avait rĂ©ussi Ă  la rendre plus vivante, plus heureuse. Il suffit de quelques phrases et d'une intention pour que le tour soit jouĂ©. Sa tĂŞte dodeline, son pas se fait plus rapide. Il est presque l'heure, et elle, en retard. Les couloirs dĂ©filent, un peu comme le vent. Mary devient le souffle qui avance sans se retourner, espĂ©rant qu'aucune bourrasque ne viendra lui faire rebrousser le chemin. Elle a trop hâte. De le voir ; ça fait longtemps. Poudlard est grande, il lui arrive ne pas le croiser pendant un certain temps. Ces moments de solitudes la rendent malade. La prochaine fois elle viendrait tout de suite Ă  lui au lieu de patienter. Enfin, ce qui est fait est fait, mais cette rĂ©solution lui donne une dernière impulsion. Courir, ses pas raisonnent. Son coeur tambourine, toujours peu habituĂ© aux efforts, mais elle arrive vite Ă  sa destination finalement la bibliothèque. Oups, un peu d'attente, mais au final ce n'est pas très mordillĂ©es sans pour autant devenir ensanglantĂ©es. Toujours des efforts, pour ne pas paraĂ®tre trop dĂ©calĂ©e lorsque leurs chemins se croisent. Puis elle s'oublie, devenant un elle oubliant son je pour tenter un mieux. C'est rĂ©cent, il suffit d'un claquement pour devenir une simple observatrice, laissant les trois dĂ©crire. Certes il y a parfois des dĂ©bordements, quand ils veulent tourner mais qu'ils n'arrivent pas Ă  ĂŞtre neutres dans les dĂ©cisions. Un peu comme dans ce film, lĂ , il y a joie, tristesse, colère, dĂ©goĂ»t et peur. Mary a la folle, la furie et le petit bonhomme devant la porte les interrogations s'effacent pour laisser place Ă  un vide. PoussĂ©e noir complet. Il y a quelque chose d'inquiĂ©tant dans cette pièce noire. Il sait pourtant non ? Qu'avec lui elle peut profiter des couleurs. Alors pourquoi avoir fait ce choix ? Allumant sa baguette d'un sortilège, Mary fait un pas. Il suffit de voir la lumière blanche se teinter de jaune pour comprendre qu'il est bel et bien ici. Un peu de temps avant de le trouver attablĂ©, seul. Coucou pour montrer sa joie mais le dĂ©sarroi face Ă  cette tĂŞte qui manque son joyeux comparer Ă  l'habituelle bonne humeur et puis il faut Ă©clairer tout ça. Nouveau jeu avec son petit bout de bois et tout se retrouve allumĂ© je te prĂ©fère comme ça fini par dĂ©clarer le murmure de sa voix. Puis elle se penche, ses lèvres sur les siennes comme si il y a un manque - c'est d'ailleurs le cas - et elle aurait pu passer encore plus de temps mais se sentant tomber Mary finit par se laisser tomber sur une chaise en face. Un sourire revient Ă©clairer momentanĂ©ment son visage. Les images de leur rencontre illuminent de plus en plus ses pensĂ©es devenues quelques secondes sombres. Artemis WildsmithPoufsouffle Re La nuit dans la bibliothèqueArtemis Wildsmith, le Dim 12 Nov - 2007 LA accordĂ©s pour tout le RP, by the qu’il cherchait des Ă©pluchures de lumière afin d’éclairer la situation dans laquelle il se trouvait, tout s’allume. Il n’avait pas fait attention, au mouvement pĂ©nĂ©trant la bibliothèque. Un bref salut et c’est la lumière environnante qui le rĂ©veille, soudainement. Et ça n’a pas l’effet escomptĂ©. Il a soudainement l’impression d’être mis Ă  nu, Ă  dĂ©couvert, il aimerait crier non, non, Ă©teins, vite. Il n’a pas envie qu’elle le voie en rĂ©alitĂ©. Ou c’est l’inverse. Il n’a pas envie de la voir parce qu’il sait. Il pressent tout Ă  fait ce qu’il se passera dans quelques secondes. Parce que boum. Évidemment, devant ses mots et son baiser. Il veut la garder lĂ , près de lui, toujours, parce que sa prĂ©sence a quelque chose qu’il ne comprend pas. Les lèvres s’éloignent, elle aussi, la rattraper, vite. Elle s’assoit. Il se pince les lèvres devant son sourire. Ne jamais l’effacer, n’avait-il pas fait une promesse qui allait dans ce sens-lĂ , un jour. Il ne se souvient plus, il aurait dĂ» le marquer, quelque part. Alors par mimĂ©tisme, il lui sourit aussi, il n’arrive pas Ă  ignorer cette chaleur habituelle Ă  ses cĂ´tĂ©s. C’est vrai qu’il l’aime un peu quand mĂŞme. Mais très vite ça le rattrape, les flashs des autres Ă©treintes, des autres baisers, des autres touchers, le tout en mode Ă©pileptique, le visage d’Arty s’assombrit. Elle est trop loin. C’est ce qu’il se dit. D’un Ă©lan dĂ©jĂ  fait auparavant, il vient coller sa chaise Ă  la sienne. Il n’a pas encore parlĂ©, il devrait peut-ĂŞtre, un peu, tout de mĂŞme, mais il a peur des mots qui pourraient sortir. Au lieu de ça, il pose sa main contre sa joue, l’embrasse de nouveau. C’est une erreur, il le sait, mais comme Ă  son habitude, il ne peut y rĂ©sister, il ne veut pas. Juste encore profiter. Pourquoi faisait-il ça, au juste. Trop embrouillĂ© sĂ»rement, on lui pardonnera, ou pas. Geste de recul, le Blaireautin plonge ses yeux dans les siens. CĹ“ur au bord de la bouche, ça va ĂŞtre difficile. Parce qu’il ne comprend pas pourquoi il devrait lui dire, ça la ferait souffrir, Ă  tous les coups. C’était Ă  lui de culpabiliser, de se sentir mal Ă  en vomir. Pas elle. Pourtant. Ne fallait-il pas introduire la chose ? Un petit bonjour-comment-ça-va-et-ta-journĂ©e-alors ? Non, le mieux c’était d’arracher, tout de suite, come clean. Pas de chichis. Ce serait pire. Pour une raison encore plus inconnue, il vient poser sa tĂŞte dans le creux du cou de la Serdaigle, il se love. Aucun respect ce gamin, aucune dignitĂ©. Mary. » Il laisse ça en suspend, quelques instants, le temps de respire et d’aviser. J’pense que j’ai fait une bĂŞtise. Enfin, j’suis sĂ»r. Tu vois j’ai. » Comment dire. Comme une impression de dĂ©jĂ -vu. C’était un cercle sans fin cette histoire. C’est-Ă -dire que mĂŞme avec les sentiments il ne pouvait s’en empĂŞcher, de virevolter ailleurs. Il s’éloigne encore, ça ne serait donc que ça, se rapprocher et s’éloigner. Geste nerveux dans les cheveux, il fallait qu’il continue, qu’il y aille. Il y Ă©tait presque. Encore un effort, allez. Mais c’est le verbe qui lui manque. Flirter. Batifoler. Fricoter. Embrasser. Encore davantage. Ce n’était pas assez. Il aurait dĂ» Ă©crire un petit discours et le lire. Bien que trop peu personnel. Il aurait au moins ce courage-lĂ , d’assumer. Presque. Mais ça prend trop de temps lĂ . Bouge-toi. D’une main tremblante il saisit celle de Mary. ProximitĂ© dĂ©placĂ©e. Toujours Ă  la recherche d’une once de rĂ©confort qu’il ne mĂ©rite pas. J’ai pas rĂ©sistĂ©, avec quelqu’un d’autre on s’est… rapprochĂ©s. » Il se plante lĂ  devant ce visage qu’il apprĂ©ciait tant. Il s’arrĂŞte. C’était largement suffisant, pour l’instant. Peut-ĂŞtre n’avait-il pas Ă©tĂ© assez clair, que son propos Ă©tait vague. Il attend, un mouvement, une expression, une rĂ©action quelconque. Ça explose dans sa poitrine, l’effroi, la peur, il grimace, ne sait pas quoi ajouter. Il n’a pas dit qui. Il ne le dirait sĂ»rement pas, après tout, ce n’était pas ça l’important, l’erreur Ă©tait dĂ©jĂ  grandement suffisante. Il aurait eu envie de fuir, en courant, laisser l’information ici et tant pis, mais il ne peut s’empĂŞcher de s’accrocher lĂ , Ă  elle. GaĂ«lle PanyellaSerdaigle Re La nuit dans la bibliothèqueGaĂ«lle Panyella, le Ven 24 Nov - 1854 Une sphère de chaleur dans le creux du ventre qui s'Ă©parpille ne laissant plus place aux lueurs sombres des torpilles ~ allures vagabondes des auras nĂ©fastes qui s'effondrent lorsque la lumière s'Ă©lance Ă  la rencontre de la pièce maĂ®tresse des lieux. Un endroit prĂ©misse d'une relation aux dĂ©lices sucrĂ©s de l'amour~achĂ©e. DĂ©voreuse, elle observe les yeux grands ouverts la chaise de l'autre se rapprocher de la sienne et veut Ă  nouveau goĂ»ter Ă  ses lèvres, apparition de la gourmandise, allez, juste une petite friandise. Une Ă©tincelle s'approche des pupilles si proches, voilĂ  que le dĂ©sir est exhaussĂ©, un rĂŞve Ă©noncĂ© Ă  des heures clefs, est-ce que le nombre Ă  quatre identiques chiffre est dĂ©jĂ  passĂ© ? Sans importances, ce qu'elle a voulu est arrivĂ©, un frisson d'amusement et de plaisir. Elle sent tout, comme si c'est exacerbĂ©, cette main sur sa joue... Une douce flammèche part de cet endroit pour consumer les autres parties de son corps. Mary s'y sent un brin Ă  l'Ă©troit, sans doute est-ce Ă  cause du feu. Partout le sang bouillonne et crĂ©e quelque chose de doux mais dont elle ne peut pas rĂ©ellement profiter pleinement. Contact rompu, dommage miment les lèvres avant que le regard ne soit heurtĂ© par celui d'Arty. Quelque chose ne doit pas aller, il manque l'Ă©tincelle qu'elle apprĂ©cie tant. Tenter un sourire, pour lui donner. Essayer d'ĂŞtre lĂ , parce que ça ne doit pas fonctionner que dans un sens. Il a aidĂ© plus qu'elle n'aurait imaginĂ©, heure de rendre la pareille. Sa tĂŞte vient se poser un creux de son cou, simple prĂ©nom Ă©noncĂ© lui suffit pour venir embrasser les parcelles de celui de l'autre qui lui sont accessibles. L'oiseau s'arrĂŞte pourtant lorsque les paroles douteuses sont prononcĂ©es mais n'ont pas l'effet d'un poignard, les bĂŞtises, ça arrive, ils ne sont qu'enfants après tout. Casser un vase ça ne le rĂ©pare pas, tant qu'il ne recommence pas. Cependant l'hĂ©sitation et la difficultĂ© semblent se frayer un chemin. Attente de la suite mais il ne se passe qu'un Ă©loignement. TĂŞte penchĂ©e elle observe. Ă€ l'intĂ©rieur il n'y a rien. Aucune supposition, juste un vide saisissant. Peut-ĂŞtre qu'elle se prĂ©pare. Va-t-il la laisser ? Impossible, il ne l'aurait pas embrassĂ©. Une bonne nouvelles aux allures hĂ©sitantes alors ? SĂ»rement. Pas de conclusions hâtives, espoir d'un petit truc chouette, qui allumera une myriade d'Ă©toiles dans leurs deux regards. L’atmosphère devient pesante, sans doute liĂ©e Ă  l'interminable attente. C'est dĂ©tachĂ©e que Mary observe sa main devenue prisonnière. Envie de lui crier de se dĂ©pĂŞcher, pour retrouver la quiĂ©tude qui les englobaient seulement quelques minutes avant. Mais rien. Toujours elle aurait prĂ©fĂ©rĂ© qu'il se taise pour toujoursC'est l'hĂ©catombeComme un joli mur de rĂŞves qui s'effondre D'abord il ne se passe rien, le temps que les mots arrivent et percutent. Le visage d'amoureuse Ă©perdue se transforme. Se fracasse et est vidĂ© de toute consistance. Elle n'est pas stupide. C'est une gamine paumĂ©e, mais pas une imbĂ©cile. Les petites voix dans sa tĂŞte commencent tout doucement Ă  donner leurs avis. Une pichenette sur le front les fait taire pendant un instant. Elle s'Ă©carte vivement, la chaise grince contre le sol d'un son qui crispe son corps automatiquement. L'impact et les consĂ©quences de ce que ça implique ne tuent pas pour le moment. Une seconde de battement. Rapprochement. Certainement pas un simple baiser Ă©changĂ©, ce n'est pas si grave que ça, ne vaut pas la peine d'ĂŞtre Ă©noncĂ©. Après tout elle n'avait pas dit avoir retrouvĂ© les lèvres d'Erundil un peu après leur première rencontre. Pire. Visage de marbre la jeune fille se lève. Colère colère colère. Sans s'en rendre compte son corps tout entier tremble. Disparue les vagues de chaleur. Un froid impossible vient se loger au niveau de son coeur. Sentiment de encore pire que l'abandonUn pas, la voilĂ  juste devant, un peu d'Ă©lan de la part d'une main aux doigts frĂ©missants, la jeune femme Ă©coute le chat, le sourire narquois. Sans rĂ©flĂ©chir Ă  la consĂ©quence de cet acte compliquĂ© voilĂ  que en un seul mouvement rapide elle se retrouve collĂ©e Ă  la joue de cet imbĂ©cile. Le geste n'est pas pensĂ© mais l'Ă©nervement prend plus de place. Elle a juste envie d'effacer avec une gomme ce qu'il vient de dire et de se jeter Ă  son cou. Et pourquoi pas ? DĂ©pitĂ©e Mary se retrouve sur les genoux d'un arnaqueur qui mĂ©riterait cent annĂ©e de malheur. T'es un vrai c*n. Murmure laissĂ© en suspend avant de s'abandonner et de continuer la quĂŞte du rĂ©confort bien que ce soit lui la cause du malheur. Contredisant ses pensĂ©es Mary se noie dans un dĂ©cors spatial irrĂ©aliste et recommence Ă  l'embrasser, tout en enfonçant ses doigts aux ongles cassĂ©s dans la peau du poignet. HĂ©sitation entre lui faire regretter et juste ignorer, se perdre Ă  donner de la douleur et Ă  noyer dans les première larmes qui s'Ă©crasent le malheur. Artemis WildsmithPoufsouffle Re La nuit dans la bibliothèqueArtemis Wildsmith, le Ven 24 Nov - 2358 Ça se tortille dans son cĹ“ur, si tant est qu’il en avait un, sĂ»rement oui, tout de mĂŞme, tandis que les secondes dĂ©cident de rigoler, de s’amuser de ce moment latent, les filousses. Finalement la rĂ©action de la Serdaigle est plutĂ´t prĂ©visible. Elle s’arrache Ă  lui, s’éloigne, il la regarde en soupirant. Elle avait compris. Pas la peine d’aller plus loin, de dĂ©velopper, ça se voyait. Pauvre petite chaise rejetĂ©e si brusquement, elle qui n’avait rien fait, victime collatĂ©rale. Il Ă©loigne cette pensĂ©e, concentre-toi, c’est important lĂ . Il n’avait pas l’habitude de la voir ainsi, les sourires et la lumière semblaient avoir dĂ©sertĂ© de son visage, de ses yeux. Il Ă©tait entièrement responsable de ça. Comme le visage d’Alex ce jour-lĂ . Ses sentiments passent brutalement Ă  la machine Ă  laver, de nouveau. Complètement dĂ©chirĂ©. Mais ce n’était pas lui qui souffrait le plus ici. C’était elle, qui s’était dorĂ©navant rapprochĂ©e, alors qu’elle aurait pu partir tout simplement. Claquer la porte, ne jamais regarder en arrière. Il aurait peut-ĂŞtre prĂ©fĂ©rĂ©. Attendait-elle des explications ? Un pourquoi ? Il n’en avait pas. Ah non. Le faire souffrir en retour, ça devait ĂŞtre ça. Il ne flanche pas tandis que la main de la Serdaigle part pour venir s’écraser contre sa joue. Aucune colère chez lui, au contraire. Elle pouvait tout lui faire, exorciser tout ce qu’il se passait dans son cĹ“ur Ă  elle, il l’avait grandement mĂ©ritĂ©. Il voudrait dĂ©sormais qu’elle se mette Ă  lui crier dessus et le rouer de coups. Tout lâcher. Enfin, en douceur. Il se pince les lèvres alors que son regard vient se concentrer le sol de la bibliothèque comme s’il ne pouvait pas, impossible de l’affronter. Complètement vulnĂ©rable devant la froideur avec laquelle elle s’exprime. Quatre mots et demi sortent de sa bouche. Il hausse un sourcil, se risque Ă  lever les yeux. Un con. C’est qu’elle avait tout Ă  fait raison. Mais encore. L’euphĂ©misme de l’annĂ©e, elle Ă©tait plutĂ´t gentille. Parce qu’heureusement elle ne connaĂ®trait jamais, l’autre moment. Le fameux dans la Cabane. Il y Ă©tait forcĂ©. Alors il se dit plutĂ´t content, qu’il y ait eu Zack. Parce qu’il pouvait ainsi avouer, en partie. Sinon il n’aurait eu d’autre choix que de lui cacher, enfermĂ© dans sa culpabilitĂ©. Ici, il avait cette chance de rĂ©vĂ©ler et de se libĂ©rer par la mĂŞme occasion. L’ ne lui rĂ©pond pas. Se contente de l’observer toute tremblante. Puis il vrille complètement. Situation Ă©pileptique. La revoici dans ses bras. Son cĹ“ur s’enflamme de nouveau, son corps aussi. BrĂ»lant d’une chaleur qu’il n’aurait pas cru revoir si tĂ´t. Trop tĂ´t d’ailleurs. Qu’est-ce qu’elle faisait. Pas si prĂ©visible en rĂ©alitĂ©. Il n’est pas sĂ»r de comprendre. Un contact beaucoup plus abrupt qu’avant la rĂ©vĂ©lation, mais il l’accueille, Ă©videmment. Il se libère de son emprise pour la serrer contre lui, mains sur ses hanches et dans le dos. L’emprisonner peut-ĂŞtre un peu, l’empĂŞcher de partir encore une fois. Puis au rythme des baisers. J’suis dĂ©solĂ©. J’suis dĂ©solĂ©. » Non pas qu’il ne le voulait pas, la tromper, il ne mentirait pas. Il Ă©tait tout simplement terriblement dĂ©solĂ© de la faire souffrir tant. Enfin, ce qu’il pensait. Il se laisse guider, ne cesse de l’embrasser. Il tente d'expier ainsi sa culpabilitĂ©, la transmettre peut-ĂŞtre. C’est qu’il profitait, un peu, d'avoir Mary contre lui, si proche. Contradictoire parce qu’il amorce un lĂ©ger mouvement de recul. N’étaient-ils pas censĂ©s en discuter ? Attends. Attends. Attendre quoi exactement. Arty est perdu, complètement. Elle le gifle pour l’embrasser ensuite. Qu’est-ce que tu fais ? Est-ce qu’il imaginait une rĂ©ponse, sĂ»rement pas. Il rĂŞvait. Alors il prĂ©fère le dire, parce qu’il n’est pas sĂ»r de pouvoir continuer Ă  mentir. Tu sais que j’vais recommencer. J’peux pas t’promettre le contraire. D’un autre cĂ´tĂ©, ça n’arrivera peut-ĂŞtre plus. J’sais pas. Dis moi. » Quoi. Qu’est-ce qu’elle pourrait bien dire ou vouloir. Et lui. S’il pouvait succomber sans culpabilitĂ© est-ce que ce ne serait pas l’idĂ©al ? SĂ»rement. Puis il se demande vivement pourquoi exactement. Ses sentiments Ă©taient toujours lĂ  pour elle, aucun doute lĂ -dessus. D’ailleurs. Étaient-ils toujours ensemble. Alors. Il chasse l’interrogation et la rĂ©flexion d’un geste des mèches brunes. RĂ©flĂ©chir. Pourquoi faire. Puis cette question de lĂ  maintenant, ce qu'ils faisaient exactement. Il dĂ©glutit face Ă  la difficultĂ© de ne pas se ruer, fondre sur les lèvres de la Serdaigle. GaĂ«lle PanyellaSerdaigle Re La nuit dans la bibliothèqueGaĂ«lle Panyella, le Sam 25 Nov - 1249 Quelque chose se modifie ici et lĂ  quelque part mais elle ne sait pas trop oĂą, sĂ»rement la colère qui s'entasse pour s'amuser, jouer avec les illusions qui passent et repassent alors que ses yeux sont fermĂ©s. Lèvres toujours collĂ©es, ses mains ne font plus qu'effleurer la peau, trop tĂ´t pour lui infliger la douleur. Ce qu'elle comprend lui fait peur mais dans le dĂ©ni elle ne cherche pas bien loin. Cependant c'est tout proche que dans la chaleur du corps d'ArtĂ©mis elle trouve un j'en ai marre avec son ami c'est fini de subir, de souffrir alors qu'elle ne vit que pour Ă  nouveau sourire. Mary a bien conscience que ce n'est pas une bonne idĂ©e, se retrouver ici sur des genoux qui mĂ©ritent d'ĂŞtre coupĂ©s mais la raison semble s'ĂŞtre Ă©vaporĂ©e dans une note de musique qui clĂ´t une jolie histoire, peut-ĂŞtre que ce n'est qu'un Ă©nième Ă©lĂ©ment perturbateur qu'elle espĂ©rait dĂ©clencheur de la rĂ©solution. S'enfonçant dans des ruelles sombres mal famĂ©es lĂ  voilĂ  surprise de constater que le soleil n'est plus prĂ©sent mais une lueur blanche inquiĂ©tante. La poupĂ©e est loin elle aussi. Suffit de cette constatation pour comprendre celui qui reste. L'Ă©quilibre rompu n'annonce rien de bien positif mais c'est plus facile alors elle touche la corde Ă©paisse plus gracile et mallĂ©able, une pelote de laine aux deux milles possibilitĂ©s. Il lui faut ĂŞtre attentive Ă  ne pas l'emmĂŞler, sinon ce sera encore la pagaille, un labyrinthe de corde dont il lui sera bien compliquĂ© de trouver le dĂ©tachement trop rapide laisse Ă©chapper un certain grognement. Impossible elle ne veut pas. Aucune raison de se plaindre pourtant, les lèvres continuent de s'effleurer alors que d'inutiles dĂ©solĂ©s s'approchent. Maintenant elle n'est plus plongĂ©e dans le noir, remarquant Ă©tonnement que les couleurs sont tout de mĂŞmes restĂ©es malgrĂ© la blessure infligĂ©e. Insatisfaite ça ne suffit pas. Envie qu'il souffre, qu'il sente la pointe d'un poignard s'enfoncer Ă  plusieurs reprises dans le ventre. Puis une fois soignĂ©e, recommencer. Histoire de sa propre vie. Après tout, il l'a cherchĂ©. Encore plus lorsque Ă  nouveau une distance est installĂ©e. Mine boudeuse chagrinĂ©e, c'est plutĂ´t clair qu'elle n'a aucune envie de discuter. Risque de s'Ă©nerver, avec toutes les petites consĂ©quences qui suivent. Ce qu'elle fait... Si simple. La rĂ©ponse est Ă©vidente. Il ne reste plus que le chat sauvage, les autres sont partis Ă  cause de toi. T'es un tueur de poupĂ©es et un pompier qui Ă©teint les soleils. Mais mon fĂ©lin n'a pas peur des chiens. Dans sa tĂŞte tout est logique. Simple et limpide, rien de plus Ă  expliquer. Regard dans le sien, Mary tente de le rendre froid sans grandes rĂ©ussites. Certainement une lueur d'incomprĂ©hension dans celui d'ArtĂ©mis mais ce sera Ă  l'autre narratrice de dit qu'il veut recommencer dans la tĂŞte ça bouge encore les paroles se transforment pour ne plus ĂŞtre ce qu'elles sont Ă  la base Ce n'est pas une bonne idĂ©e, il ne choisi pas les bons motsUn instant lĂ  voilĂ  relevĂ©e, loin de lui, murmure brisĂ© je reviens, tu bouges pasPour s'effacer dans les rayons de la bibliothèque, un peu de calme, dĂ©terminationPlus question d'ĂŞtre faiblesseUn chemin sinueux se trace dans les dĂ©combres d'un coin de son coeur qu'elle aperçoit Ă  prĂ©sent catacombes Ses mains s'enfoncent dans un creux, sortantes avec un ouvrage qu'elle ne sait pas utiliserCe n'est pas comme ça que finissent les contes de fĂ©esRetour vers le point de dĂ©part. Le livre en mains elle ne sait pas quoi en faire, encore une idĂ©e stupide alors qu'elle rĂŞvait de grandiose. Il encombre, elle le balance dans la direction du poufsouffle, poufsouffre ? Ce nouveau mot lui plaĂ®t. Envie de l'entendre rouler contre sa langue qui claque poufsouffre. L'ouvrage ne tombe pas sur sa tĂŞte, dĂ©cidĂ©ment elle n'est pas dotĂ©e de prĂ©cision, tant pis. VoilĂ  paumĂ©e, Mary perdue, un mal de tĂŞte pratiquement prĂ©sent. D'un revers de la main les larmes sont effacĂ©es bien que remplacĂ©es par de nouvelles qui se veulent de plus en plus douloureuse. Le vide est de plus en plus intense. Oscillant entre la raison et la dĂ©raison elle choisi finalement la dernière option ne voulant pas rompre si tĂ´t de nouvelles rĂ©solutions. Elle pourrait prendre une chaise et l'assommer, ce serait plus simple. Finalement elle s'assied Ă  nouveau sur les jambes de l'autre, avant de planter ses mains dans les joues si adorables de son tortionnaire. Bien dĂ©cidĂ©e Ă  inverser les rĂ´les. Cisailler de l'intĂ©rieur et de l'extĂ©rieur. Tu sais quoi ArtĂ©mis, je m'en fiche. C'est un mensonge elle le sait mais au final peu importe, envie de se donner l'impression d'ĂŞtre forte mĂŞme si l'autre n'y croit pas. Maintenant tu la fermes. Lèvres pincĂ©es qui finissent par fondre Ă  nouveaux, embrassant son visage. Il ne le mĂ©rite pas, elle non plus. Si il s'est laissĂ© consumer par quelqu'un d'autre elle compte bien l'achever. La petite crise A assez durĂ©e. Se donner l'illusion que c'est lui qui est en prison et pas le pauvre petit oiseau qui jamais ne saura s' aura cicatrisĂ© alors que je n'aurais pas trouvĂ© un seul pansement Artemis WildsmithPoufsouffle Re La nuit dans la bibliothèqueArtemis Wildsmith, le Dim 26 Nov - 221 Il accueille les paroles de la Serdaigle la bouche lĂ©gèrement entrouverte. Il ne comprend rien. Une histoire de chats et de chiens, une vraie animalerie, il ne voit pas très bien ce que ça vient faire lĂ , alors imperceptiblement il hausse les Ă©paules. Il savait que Mary pouvait se montrer perchĂ©e, pas dans le mauvais sens du terme, mais c’est comme si la colère devait dĂ©figurer ses pensĂ©es, c’était pas super joli Ă  voir. Mais il laisse passer, il ne lui demande rien. Aucune explication, parce qu’elle semble dĂ©jĂ  ĂŞtre passĂ©e Ă  autre chose. Il lui laisse le temps, après tout, il fallait qu’elle digère, qu’elle sache exactement quoi faire. Pendant qu’il attendait la sentence, tout Ă  fait prĂŞt Ă  assumer, presque. Elle lui ordonne brusquement de ne pas bouger, et il obĂ©it. C’est rare. Peu sont ceux dont il accepte les ordres, mais ce soir, il pouvait peut-ĂŞtre faire une exception, le temps qu’elle s’adapte, qu’elle avise de la suite. Et tandis qu’elle s’éloigne il reste lĂ . Les bras ballants il s’intĂ©resse Ă  une petite Ă©charde de bois qui dĂ©passe, il n’a aucune idĂ©e de ce qu’est en train de traficoter la Serdaigle, peut-ĂŞtre est-elle partie. Il relève la tĂŞte, le temps de voir un livre voler. On passait aux choses sĂ©rieuses. HĂ© » VoilĂ  qu’elle l’attaquait avec les livres, le pire c’est qu’elle avait Ă  ses cĂ´tĂ©s une ribambelle de munitions. Peut-ĂŞtre devrait-il commencer Ă  s’inquiĂ©ter, juste un peu. Il s’attarde un moment sur son visage, il en Ă©tait tout Ă  fait responsable. Ça le chiffonne de la rendre ainsi, petite pique dans la poitrine. Mais de nouveau, un vĂ©ritable accordĂ©on, la voici de nouveau sur lui, sur ses genoux. Ça ne faisait que le perdre davantage, petit cĹ“ur sautillant dans un ascenseur Ă©motionnel pas vraiment agrĂ©able. Mais encore une fois, il l’avait cherchĂ©. Ses mains contre ses joues, ça l’électrise, il se demande ce qu’elle allait bien trouver comme menace cette fois. Devait-il paniquer ? Pas tellement. Elle s’en fiche, dit-elle. Elle ne pouvait pas trouver pire. Pourquoi rĂ©agissait-elle ainsi dans ce cas ? Il aurait fallu l’annoncer dès le dĂ©but s’il pouvait aller voleter ailleurs, il n’aurait pas culpabilisĂ© autant lors de l’adoltère – nĂ©ologisme. Ils auraient dĂ» Ă©tablir quelques règles, quelque chose comme un contrat stipulant les droits de l’un et de l’autre. Maintenant il doit se taire. Il avait Ă©tĂ© trop obĂ©issant. D’accord il avait fait une connerie, peut-ĂŞtre, parce que finalement ça n’avait pas tant l’air de la toucher tant que ça, d’apparence. Mais il n’allait pas se laisser malmener ainsi. Puis demander Ă  Arty de la fermer, c’est comme demander Ă  un caribou de faire du roller. Ça ne marche pas bien, littĂ©ralement. Il Ă©loigne les mains de Mary de son visage, c’est compliquĂ©, de la repousser ainsi. Lui-mĂŞme n’en revient pas. Mais c’est que ça le l’offense. Elle s’en fichait. Ses mots continuaient de rĂ©sonner dans son cerveau retournĂ© par le comportement de la Serdaigle. Des explications. Il en avait donnĂ©, Ă  peu près, il mĂ©ritait une discussion, aussi petite soit-elle. Du moins c’est ce qu’il pensait. Alors forcĂ©ment, une lueur insolente dans ses yeux, il les plonge dans les siens. Tu t’en fiches ? Fallait le dire plus tĂ´t, tu m’aurais Ă©vitĂ© pas mal de monologues intĂ©rieurs. Il ricane. Peut-ĂŞtre la provoque-t-il volontairement, sĂ»rement. Et m’appelle pas comme ça. C’est Arty. » Parce que c’est important de relever Ă  chaque fois qu’il entendait son prĂ©nom entièrement. Parce que ça lui met une vision de sa mère dans les rĂ©tines et que ce n’était clairement pas le moment. Pourtant, le Blaireautin est incapable d’envoyer vraiment paĂ®tre la Serdaigle. Il la garde lĂ , toujours en face de lui. Il se risque Ă  lui caresser la joue. Il ne sait plus oĂą ils en Ă©taient, il continue de l’embrasser, soudainement. Lui aussi tiraillĂ© certainement, entre son Ă©go froissĂ©. Puis ses lèvres lĂ , toujours, et dont il n’arrive pas Ă  se dĂ©tacher. Parce qu’il a du mal Ă  accepter, qu’elle puisse s’en fiche. Elle devait ĂŞtre touchĂ©e, l’implorer pour qu’il ne recommence plus, le forcer Ă  ĂŞtre avec elle. Mais non. Pourtant, elle Ă©tait toujours lĂ , elle n’était pas partie, n’avait pas claquĂ© la porte en l’insultant de tous les noms. Elle demeurait, Ă  savoir pourquoi. Elle ne savait pas elle-mĂŞme en fait, ça se voyait, la claque puis le bouquin rageur, il n’avait pas saisi, maintenant oui. Elle ne cessait d’osciller, clairement, entre l’éloignement et la il Ă©tend les bras, perpendiculaire Ă  son corps, complètement offert, il se surprend lui-mĂŞme. Tu sais quoi, c’est ton moment. J’ai Ă©tĂ© clair, honnĂŞte, enfin, plus ou moins. Maintenant tu fais c’que tu veux. Mais va falloir choisir. Soit tu m’balances tous les livres de cette maudite bibliothèque Ă  la figure. Ou. » Il ne termine pas sa phrase, il sourit un peu et mĂŞle une dernière fois ses lèvres aux siennes. Comme un point d’orgue. Il sait sa proposition dangereuse, mais dans l'atmosphère pesante, l'espièglerie et le jeu continuaient de percer, petit Ă  petit. GaĂ«lle PanyellaSerdaigle Re La nuit dans la bibliothèqueGaĂ«lle Panyella, le Dim 26 Nov - 2159 Elle veut juste profiter et oublier mais encore une fois il ne veut pas. C'est lui le fautif, elle ne comprend pas d'oĂą il peut se le permettre. Un soupire exagĂ©rĂ© s'Ă©lance, se mĂŞlant Ă  la danse de la provocation qu'elle tente d'apprendre. De nouveaux pas avec lesquels mĂŞme le fĂ©lin a un peu de mal. ĂŠtre happĂ© dans ce jeu insolite n'en vaut sans doutes pas la peine, prĂ©fĂ©rer la haine pure sans rapprochement serait plus saint, moins envoĂ»tant. Mary y pose tout de mĂŞme plus d'un orteil juste pour essayer. Les saveurs innovantes qu'elle goĂ»te ne lui sont pas si dĂ©sagrĂ©able que ça alors pourquoi se priver d'autant plus que lui ne s'est pas privĂ© lorsque la/les se sont prĂ©sentĂ©. Elle ne saura sans doutes jamais mais plus envie d'ĂŞtre la seule Ă  ne pas profiter ou mĂŞme comprendre les raisons de ces horreurs dĂ©chaĂ®nĂ©es qui l'ont poussĂ© Ă  la tromper. Le mot n'est pas très joli d'ailleurs, rĂ©flexion faite il faudrait en trouver un nouveau. Deux trois secondes, le temps de trouver. EmbrunisĂ©es. Aucun rapport mais plus poĂ©tique. Du coup, vu qu'il s'est permis de l'embrunisĂ©e, elle voudrait voir et tenter aussi de faire mal de cette manière lĂ  histoire de laisser la douleur physiques aux personnes comme la vipère. Si jamais elle n'y arrive pas eh bien tant pis elle finira comme elle et ce sera la faute de celui qui l'avait il y a si peu de temps paroles n'arrangent pas l'histoire. Est-il dĂ©bile ? Depuis quand doit-on se fier Ă  ce que quelqu'un montre dans le premier plan comme si il n'y en existait pas d'autre ? Il fait quoi des trois milles facettes qui s'Ă©parpillent dans son cerveau. Elle est comme ça parce qu'elle a mal. Comme prĂ©vu les rĂ´les s'inversent. Mary voulait mener pour une fois, ĂŞtre celle qui fait souffrir mais il suffit d'une rĂ©plique du camps adverse pour que ce visage presque dĂ©tachĂ© devienne totalement dĂ©truit. Tentative de se reprendre avec ce masque froid, peut-ĂŞtre mĂŞme pas forcĂ© vu la remarque inutile sur le prĂ©nom. T'es un enfo*rĂ© d'avoir fait ça. Comme une Ă©vidence qui tombe. Un sceau d'eau froide, glaciale tombe sur la bulle de barbe Ă  papa qui n'est plus que sucre plaquant et perd son aspect doucereux. J'suis loin de m'en foutre. Je te faisais confiance m*rde. Une main rageuse part dans ses cheveux emmĂŞlĂ©s pour Ă©carter les mèches qui tombent sur son nez. Je m'arrange pour pas trop avoir mal, c'pas la première claque que je me tape, j'finis par savoir comment mordre mes joues pour ne pas sentir la douleur Ă  son point d'origine, Arty. Elle insiste sur les syllabes de la fin, montrer un peu de dĂ©termination avant d'essuyer vite fait les dernières larmes qui tentent de s'Ă©chapper. J'ai dĂ©cidĂ© d'ĂŞtre chat. RĂ©pĂ©tĂ© en boucle il finira par devenir rĂ©alitĂ©. Du moins elle l'espère, pas envie de retourner dans les tentacules de Folie. C'pas le couleurs commencent Ă  se ternir autour d'eux mais une simple caresse sur sa joue leur redonne un peu de teintes qui sont agrĂ©ables Ă  regarder. Pas besoin de plus. Son coeur semble renaĂ®tre lorsque enfin elle retrouve les lèvres de ce drĂ´le de tortionnaire. Enfin on ne peut pas dire qu'il est comique. Elle imagine que ce n'est qu'un caprice, mais sans jugements Ă©tant donnĂ© que dans cette situation tout sauf idyllique elle ne vaut pas mieux. Simplement profiter. C'est un peu une note de fin, comme si la corde du violoncelle se rompait. Rip. Les derniers accords sont pourtant agrĂ©ables. On est triste que ce soit le dernier acte de la pièce mais les comĂ©diens sont toujours aussi plaisants Ă  s'Ă©tend un peu. Difficile de se contenir pour ne pas encore fondre sur lui. Un aimant. Dernières paroles prononcĂ©es un peu Ă  l'arrache. Nouveau frisson. Ses yeux le regarde d'une façon nouvelle. L’attirance a quelque peu changĂ©. Ce n'est plus les mĂŞmes raisons qui la poussent Ă  l'embrasser pour rendre les parcelles de sa peau brasier. L'Ă©tĂ© s'est transformĂ© en hiver, une saison tout aussi agrĂ©able mais d'une façon diffĂ©rente. Le choix est simple. Les gens honnĂŞtes ils embrunisent pas ceux qu'ils sont sensĂ©s aimĂ©s. Mais j'sais pas prendre de dĂ©cision tu vois... Sans doutes est-ce l'adrĂ©naline, mais sa robe de sorcière finit par atterrir Ă  ses pieds. Fixant son ventre beaucoup trop maigre et effrayant, Mary se rend compte que c'est peut-ĂŞtre, nan c'est une erreur il va avoir jamais vouloir. Mais j'pense que tu vas te casser, j'suis sans doutes un peu trop nulle par rapport Ă  celui, celle, ceux, peu m'importe, mais Ă  qui tu m'as prĂ©fĂ©rĂ©.. Elle tremble intĂ©rieurement, frĂŞle coquille qui ne sait plus mais qui ne bouge pas pour autant. Face Ă  lui elle se rend compte qu'elle est faible. C'est pas ça qui la rend moins amoureuse. Faudra le temps. Le choix qu'elle a fait n'est pas si compliquĂ© Ă  comprendre ses gestes le montrent mais elle n'est pas sĂ»re que lui le veuille. Peut-ĂŞtre un dernier espoir avant qu'une page se tourne. Artemis WildsmithPoufsouffle Re La nuit dans la bibliothèqueArtemis Wildsmith, le Mar 28 Nov - 2329 Un enfoirĂ©. Ouais. C’est-Ă -dire que de lui-mĂŞme il n’aurait pas pu trouver mieux. Joliment dit. Comme si finalement il demandait confirmation de son erreur, de son comportement de bougre. Il avait besoin de cette pique, il attendait peut-ĂŞtre que ça rĂ©veille chez lui autre chose que la culpabilitĂ©, puisqu’elle seule n’était pas suffisante pour le retenir. Besoin d’entendre de sa bouche exactement ce que ça lui faisait, pour que cesse de n’être qu’une illusion, un petit nuage Ă©lectrique qui virevoltait au-dessus de sa tĂŞte. Ajouter de la tangibilitĂ© Ă  la douleur qu’il affligeait. Le fait qu’il soit celui qui ait rajoutĂ© Ă  son abĂ®me de douleur. Ainsi, certes, les larmes et ses mots piquants le touchent, il ne peut pas dire le contraire. Mais tout de mĂŞme. Ne devrait-il pas se sentir encore plus mal que ça ? Parce qu’elle avait raison, il l’avait trahie, complètement, sciemment. Et pourtant. Ça le frappe d’un coup, sur le coin de la mâchoire, tellement qu’il grimace. Il se rend compte. Il n’avait pas Ă©tĂ© celui qu’il fallait Ă  Mary. Il lui avait promis de la lumière, des Ă©tincelles et autre. Puis rien, il avait tout fait flamber d’un coup. Pourquoi au juste ? Des pĂ©tillements dans le bas-ventre. SĂ©rieusement. Il aurait pu faire mieux. Il y avait tout de mĂŞme un bon point Ă  tout cela. Elle l’avait appelĂ© Arty de nouveau, ce n’était pas nĂ©gligeable. Comme quoi, tout n’était pas perdu. Loin de lĂ . La preuve en est dans son regard, juste lĂ , ça s’est renversĂ©. Il y avait autre chose. Elle dit ne pas savoir prendre de dĂ©cision, pourtant, le tableau qui se dessine devant ses yeux lui paraĂ®t ĂŞtre une dĂ©cision assez marquĂ©e, peu subtile. Il fait tout ce qu’il peut pour se mordre l’intĂ©rieur de la joue. Et lui ce n’est pas pour ne pas sentir la douleur. C’est pour calmer l’appĂ©tit grandissant, d’un coup. Il interprète les dernières paroles de la Serdaigle comme une lĂ©gère provocation. Elle disait n’importe quoi. RĂ©veiller quelque chose en lui, sans doute, se dit-il. Il ne pouvait pas partir ainsi, ne pas la laisser lĂ , comme ça. Tout de mĂŞme. Il la fixe, dents serrĂ©es, toujours. Avait-il vraiment prĂ©fĂ©rĂ© ces autres dont elle parle ? Sur le moment, peut-ĂŞtre. Mais elle Ă©tait toujours privilĂ©giĂ©e, quelque part dans sa poitrine Ă  lui, il ne la considĂ©rait pas comme les autres. Et lĂ , davantage. Toutefois il hĂ©site, lĂ  sur sa chaise, le temps de cligner plusieurs fois des yeux. Voir s’il ne rĂŞvait pas. Si elle Ă©tait bien lĂ , carrĂ©ment vulnĂ©rable devant lui. Un peu trop nulle avait-elle dit. Il n’en revient pas. C’était peut-ĂŞtre son rĂ´le aussi, encore, pour le moment. D’être lĂ  et de lui redonner confiance. C’est l’excuse qu’il se trouve, parce que dĂ©sormais, il n’a pas du tout envie de partir. Alors guidĂ© par ses artères bouillonnantes, sensation qui malheureusement ne lui est pas tout Ă  fait Ă©trangère, il se lève pour se rapprocher dangereusement de Mary. Les doigts affairĂ©s Ă  dĂ©boutonner sa chemise tandis que son front vient se poser contre celui de la brune, nez Ă  nez. T’es pas nulle. C’est moi qui ai m*rdĂ©, c’tout. » Ça donne une petite impression de regret, Ă  peine. De nouveau essayer de rencontrer les rĂ©tines de l’autre, Ă  quelques millimètres maintenant. Le tout vrombit Ă  l’intĂ©rieur. D’un coup, il a l’impression d’être transportĂ©, loin d’ici, de la bibliothèque mais aussi et surtout des dernières rĂ©vĂ©lations. Il y pense brièvement, en sachant que ça allait aboutir sur quelque chose comme ça, il aurait peut-ĂŞtre du tout dĂ©voiler il y a longtemps. Évidemment que l’idĂ©e un peu noire lui passe par la tĂŞte. Celle-lĂ  mĂŞme qui lui dit d’une voix chuchotĂ©e que ce n’était pas une bonne chose, clairement, que ce n’était pas le moment opportun. Qu’il profitait d’elle, un peu, de sa fragilitĂ©. Mais Mary Ă©tait une grande fille, plus que lui d’ailleurs. DĂ©licatement, il la pousse alors contre la table, juste lĂ , Ă  cĂ´tĂ© d’eux. Il avait de sĂ©rieux efforts Ă  faire au niveau de la frustration et de la tentation. Mais as usual, il s’en prĂ©occuperait plus tard. Ses doigts se hasardent chaleureusement sur la peau de la Serdaigle, sur ce ventre qu’elle n’osait pas tellement exposer. J’partirai pas. » Comme si ce n’était pas suffisamment clair, qu’il avait besoin de prĂ©ciser ce point-lĂ  exactement. Je pense que quelque part il aurait bien aimĂ©, ĂŞtre plus courageux que ça. Lui dire non, ce n’est pas possible, pas maintenant, qu’ils n’étaient pas en Ă©tat. Tourner le dos et on se voit plus tard. Mais trop entier Ă  ses impulsions, il joint ses lèvres Ă  celles de Mary. Puis il descend mĂ©ticuleusement, souligner les traits de la mâchoire, du cou, de la clavicule, saillante, tandis qu’il presse le reste de son corps contre elle. Peut-ĂŞtre qu’elle se rĂ©veillerait, le repousserait. Finalement, qui sait. GaĂ«lle PanyellaSerdaigle Re La nuit dans la bibliothèqueGaĂ«lle Panyella, le Jeu 7 DĂ©c - 2120 Musique ouais ça faisait longtempsNe sachant pas quoi faire je me contente de fixer. De regarder les boutons se dĂ©tacher, sa chemise disparaĂ®tre pour laisser le reste se montrer. Douleur lancinante qui choie des deux cĂ´tĂ©s de la balance. Jalousie d'une part, qui me murmure que je ne suis pas la première qui aura la chance de goĂ»ter Ă  ces morceaux de peau dĂ©nudĂ© puis de l'autre celle, plus agrĂ©able, de l'attente et de la tentation. Tous ses gestes sont Ă©piĂ©s, une caresse dans le regard dĂ©plaçant l'animositĂ© toujours prĂ©sente, dans un coin quelque part, juste pour l'instant et admirer tenter deux secondes de profiter pour laisser toute la place Ă  Monsieur DĂ©ni le Husky et juste sentir les effluves du moment m’enivrer dans un tourbillon Ă©lectrique, les premières notes Ă  peine jouĂ©e le spectacle devient addictif. Peur de devenir cette ex flippante qui ne voudra plus le quitter, qui suivra, finira pas faire une bĂŞtise, pour ne pas trop se dĂ©truire mais d'un autre cĂ´tĂ© je ne veux pas le voir perdre toutes les lueurs que j'ai dĂ©jĂ  pu apercevoir dans ses yeux. L'air de rien il vit et mĂŞme si la manière n'y est pas toujours. Les idĂ©es fuient et j'en viens presque Ă  penser qu'au final ce n'est pas si grave d'ĂŞtre trompĂ©e. Habitude de dire que tout est Ă©phĂ©mère alors pourquoi pas lui ? Les ondes de chaleur reviennent Ă  la charge, j'suis pas nulle mais c'est un mensonge, un parmi d'autre que je finis par accepter comme un cadeau qu'il offre pour tenter de rĂ©conforter. Au final c'est sans doutes ça et les graphiques montent et descendent dans un coeur qui ne sait plus quoi penser, maximums, minimums, j'pense qu'on ne peut pas aller plus haut ou plus bas mais finalement il n'y a pas que les limites de l'Ă©criture qui sont sans cesses repoussĂ©es. Elles peuvent toutes l'ĂŞtre, et c'est ça qui est considĂ©rĂ© comme marrant dans le jeu que la vie propose, juste des dĂ©fis de plus en plus dangereux de plus en plus tentants qui finissent eux aussi par devenir des inĂ©vitables tant ils engouent, tant ils donnent envie de prouver, Ă  soi et aux autres que nous, on peut y arriver. Les ravages qu'ils laissent sur leurs passages sont insignifiances alors qu'ils mĂ©riteraient une si grande importance...DĂ©viĂ©e, contre la table que je sens sous mon dos sans comprendre il est au-dessus et Ă  nouveau les yeux s'Ă©garent, les mains aussi. Puis un dĂ©solĂ© qui passe par une oreille pour sortir par l'autre parce que ce qui est fait est fait et mĂŞme si je n'ai pas envie de passer l'Ă©ponge pour le moment c'est sans importances. Partir Ă  la dĂ©couverte ce n'est pas si mal non plus, frĂ´ler du bout des doigts son dos, dĂ©vier vers des inconnues. Les corps rapprochĂ©s qui se mĂŞlent, je l'ai finalement ma danse, quand ses lèvres Ă©chappent Ă  son propre contrĂ´le et que dans un dernier effort je tente de chuchoter que finalement t'as rĂ©ussi Ă  les faire rester puis me relève d'un coup pour attraper sa main, s'Ă©loigner de cette table un peu trop exposĂ©e - on sait jamais quelqu'un peut Ă  tout moment entrer - et dĂ©lirer, dĂ©livrer, dĂ©lier. Puis dans un coin plus confortable Ă  nouveau s'emmĂŞler se croiser ne plus trop savoir pour finalement m'abandonner entièrement, les gestes sont plus fort, les caresses plus douce, dĂ©passant le stade du regard et les lèvres qui ne se posent plus que sur ses semblables mais dĂ©vient. Un moment choyer Un moment d'abandonUn moment sans regrets Un soupçon de dĂ©liceUn Ă©tincelle de malicePuis des odeurs de rĂ©glisseEt une petite ellipse paske j'suis innocente et que j'veux pas savoir ce qu'il se passe lĂ  exactement Un rayon de bonheurLes pĂ©tale tombent de la fleurUn peuBeaucoupPassionnĂ©ment Ă€ la folieSans se soucier du pas du toutJuste un sourire et quelques larmesSans remordsJuste un Ă©lan de gratitude qui s'Ă©vade alors que fixant le plafond le sourire ne quittant pas je fixe en coin et je comprends que Ă©trangement ça n'a fait que Ă©viter le pire, t'm'as sauvĂ©e du chat Arty, pas de remerciement pourtant pour ne pas qu'il se croit trop fort, mĂŞme si c'est sans doutes la dernière Ă©treinte alors j'me lève et cherche cette fameuse robe tombĂ©e puis la reporte, remise Ă  sa place et retourne près d'Arty et non Artemis il aime pas mais c'est vrai que c'est plus joli puis au final il donnait bien quand on le faisait rimer avec Mary. Du passĂ© parce qu'il n'y a plus cet ensemble qu'ils sont sensĂ© formĂ©. Je dĂ©pose un dernier baiser sur ses lèvres aussi frivole puis termine par un simple adieu, plus de merci d'exister il ne les mĂ©rite pas, juste un c'est gentil d'avoir Ă©tĂ© lĂ  pour finalement fuir dans une tornade d'Ă©motions qui ne sont plus contradictoires. Au final ces petites choses lĂ  ça s'emporte pour finalement se calmer en criant que la tempĂŞte et momentanĂ©ment du rp pour moi, merci Artemis WildsmithPoufsouffle Re La nuit dans la bibliothèqueArtemis Wildsmith, le Sam 16 DĂ©c - 2015 Pas le temps d’être surpris. Elle vient de dire oui, avec ses baisers, ses mains, une sorte d’assentiment qui fait pulser son sang Ă  l’intĂ©rieur. Il ne rĂ©flĂ©chit mĂŞme plus, au fait que non ça ne se fait pas, ce serait la briser. Mais il se donne trop d’importance, et l’étreinte semble ĂŞtre le meilleur moyen pour oublier qu’il s’était comportĂ© comme un enfoirĂ©. Qu’il en avait marre d’être ainsi rongĂ© par la culpabilitĂ©, alors profiter et surtout, donner Ă  Mary, lĂ , Ă  ce moment prĂ©cis, exactement tout ce qu’elle voulait. Qu’est-ce qu’il Ă©tait gĂ©nĂ©reux tout de mĂŞme. Il ne comprend pas forcĂ©ment ce qu’elle dit, mais il la suit, plus loin, en retrait dans la bibliothèque. La symbolique le frappe de nouveau Ă  la figure tandis qu’il sent Mary sous ses doigts, ses baisers. Totalement guidĂ© par la fureur des plaisirs, il en oublie mĂŞme que pour une fois, l’acte Ă©tait le bienvenu, pas de cachoteries, il Ă©tait autorisĂ© Ă  l’embrasser de cette façon. Parce qu’à cet instant elle Ă©tait encore sa petite amie. Mais en rĂ©alitĂ© ça ne change absolument rien, il a cette facultĂ© de foutre son cerveau en pause, surtout dans un tel moment. Pourtant, c’est tout de mĂŞme avec plus de passion et de dĂ©termination qu’il l’embrasse, et qu’ils se pour l’innocence de Mary C’est toujours le moment de l’après qui pique un peu. Il ne sait pas pourquoi jusqu’à ce qu’il la voie se relever, s’éloigner, s’habiller. Aucune bribe d’un Ă©tat quelque peu languissant des minutes prĂ©cĂ©dentes. Elle ne reste pas, elle n’en a pas l’intention. Il se redresse aussi, le regard interrogateur. C’est qu’il a le culot de se demander pourquoi. Pourquoi elle rĂ©agissait ainsi, pourquoi elle ne voulait pas ĂŞtre Ă  ses cĂ´tĂ©s, maintenant. Alors qu’il comprend très bien, qu’elle ne peut pas. Pourtant son Ă©goĂŻsme Ă©touffant lui donne envie de crier tu fais quoi lĂ  tu vas oĂą reste un peu. Mais les dernières paroles de la Serdaigle marquent une lacĂ©ration dans le muscle pompeur. C’est qu’elle l’embrasse en plus, une dernière fois. Un adieu qui claque dans le silence procurĂ© par les livres. Et sa dernière phrase, l’adjectif, gentil. Ça le ravage tandis qu’il la voit s’éloigner. Le temps que ça fasse son petit chemin Ă©lectrique dans les neurones en effusion. Elle venait de rompre. Après qu’il lui ait avouĂ©, après qu’ils aient Ă©tĂ© si proches. Il a comme l’impression que la sĂ©paration n’arrive pas au bon moment, que ça aurait dĂ» ĂŞtre avant. Avant ça. Il dĂ©glutit, cligne des yeux, secoue la tĂŞte, passe sa main dans ses cheveux, tout ce qu’il faut pour reprendre conscience de la rĂ©alitĂ©. Se relève. Il demeure lĂ  quelques instants, perdu. Le temps passĂ© avec Mary avait Ă©tĂ© bien trop furtif, une lumière brève, le temps de se tromper d’interrupteur, ou de remarquer qu’en fait il y avait quelqu’un dans la pièce. Éteinte dĂ©sormais. Mais bon, il l’avait entièrement mĂ©ritĂ©. Il n’était pas si inconscient pour ne pas le remarquer, pour ne pas le savoir. S’il avait voulu garder Mary, il n’aurait pas fait tout ça. Tout de mĂŞme, d’un geste rageur il frappe la plus proche Ă©tagère. Parce que ça lui fait mal, ça le dĂ©vore, il aurait bien aimĂ© rester encore un peu dans leur bulle Ă  eux, qu’il avait pourtant de lui-mĂŞme Ă©clatĂ©e. Quelque chose d’amer lui reste lĂ , coincĂ© dans le fond de la gorge. Parce qu’il n’y avait pas eu d’explosions de voix, d’objets qui volent et de remontrances. Juste un c’est gentil d’avoir Ă©tĂ© lĂ . Et ça faisait d’autant plus mal. Mais il allait devoir passer cette porte, revenir au quotidien, laisser ce qu’ils avaient Ă©tĂ© ici, dans cette bibliothèque. DĂ©cidĂ©ment, dĂ©jĂ  qu’il n’y mettait pas souvent les pieds, dĂ©sormais plus jamais. Il a l’impression d’être saoul tandis qu’il se rhabille, de peser lourd. Et il doit avancer, alors c’est ce qu’il fait. Quitter les lieux. C'Ă©tait sĂ»rement pas plus mal, fermer la porte Ă  tout ça. Puis finalement, c’est peut-ĂŞtre un soupir de soulagement qui s’échappe au moment de rejoindre le pour moi aussi, merci ! LorelaĂŻ PeonyDirectionSerdaigle Re La nuit dans la bibliothèqueLorelaĂŻ Peony, le Mar 6 FĂ©v - 1739 [LA de PrĂ©puce]Exorcisme de nuitPV avec NonocNuit d'hiver glacial. Le Parc du château est silencieux. Un silence... blondinette masquĂ©e, tout de noir vĂŞtue, traverse l'Ă©tendu sombre, Ă©clairĂ© par la Lune le bras, un grimoire achetĂ© au MarchĂ© Noir, ou presque, dans une boutique dont le simple nom rĂ©veille les morts... Chez Barjow & Beurk !Cette nuit, toutes les conditions sont rĂ©unies, il ne reste plus qu'Ă  retrouver la victime, cachĂ©e en haut de sa blonde monte les marches sur la pointe des pieds et arrive, quelque peu essoufflĂ©e, dans la volière. Peu d'oiseaux y sont encore prĂ©sents, l'appel de la chasse cherche, du bout de sa baguette allumĂ©e, l'oiseau maudit. Il n'est pas encore lĂ , elle devra blonde s'installe alors dans un coin pas trop sali et ferme les yeux. La tĂŞte entre les jambes, elle se souvient de ce beau jour d’autonome oĂą elle l'avait rencontrĂ©, ici se souvient surtout de ses yeux, perçants, enivrants. Comme elle l'avait aimĂ©. Son souvenir s'Ă©tait doucement effacĂ©s de sa mĂ©moire, ses sentiments restaient pourtant ancrĂ©s dans son cĹ“ur. La LorelaĂŻ d'hier aimerait toujours l'Edward qui avait tant fait battre son larme coule le long de sa joue, un sourire nĂ©anmoins apparait sur ses lèvres. Un hibou, Ă  peine plus grand que trois pommes, la titille de son bec. Caressant d'abord sa petit tĂŞte, elle sort ensuite un sac et enfourne le hibou dedans, sans se poser plus de questions que nĂ©cessaire. Il faut sauver l'animal, coĂ»te que Allez hop PrĂ©puce !A pas de souris, elle redescend la tour, traverse le château et se dirige vers la cale le sac contre une chaise et sort son Exorcisme, exorcisme... Chut PrĂ©puce ou je te lance un bloclangue ! GuĂ©thenoc UrsionSerdaigle Re La nuit dans la bibliothèqueGuĂ©thenoc Ursion, le Mer 7 FĂ©v - 1953 A la faveur de l'obscuritĂ©, une ombre chargĂ©e d'un paquetage glissait, silencieuse et impalpable. Est-ce un esprit farceur en chemin pour importuner de ces facĂ©ties ? Est-ce le Spectre de la Mort venu rĂ©clamer son dĂ»?Fils ! Non ! Je vous interdit d'y aller !*...*Non, il s'agit simplement de GuĂ©thenoc, le fringant et modeste apprenti chevalier. Pour l'occasion et n'ayant pas d'autres tenues pour se faufiler parmi les tĂ©nèbres, il avait enfilĂ© une robe de bure noire. Elle lui avait Ă©tĂ© offerte par une de ses tantes lors de la NoĂ«l. MalgrĂ© qu'elle soit moldue, elle Ă©tait dans la confidence de son statut mais elle avait due confondre AcadĂ©mie de Sorcellerie » et Abbaye de Moineries ». Elle avait toutefois eu le nez fin. La robe le grattait. Cet inconfort Ă©tait contrebalancĂ© par l'excitation qu'il ressentait. Par cette excursion, l'Aiglon violait tout Ă  fait consciemment l'article 3 du Règlement de Poudlard. Une graine de rebelle, so unamused ! Et puis, il ne vaquait » pas, un Ursion ne vagabonde jamais, il est toujours en QuĂŞte ! Il saurait donc se justifier si jamais il rencontrait un prĂ©fet ou un professeur ! Allez, Articles 6 et 12, aux oubliettes ! Un vrai trublion celui-ci...Il jeta un regard Ă  la ronde. Pas âme qui vive, si ce n'Ă©tait la trace d'un passage l’entrebâillement de la porte de la bibliothèque. Anormal, au regard de l'heure tardive. Oubli de la part du personnel ou signe d'une prĂ©sence inopportune? Une pointe d'inquiĂ©tude perça sa carapace d'assurance. Il Ă©tait manifeste que quelqu'un l'avait prĂ©cĂ©dĂ©. Son plan allait tomber Ă  l'eau. Si seulement il perdait cette fâcheuse habitude de trop ouvrir sa grande bouche... Il espĂ©rait qu'il n'avait pas Ă©tĂ© devancĂ©, il glissa un Ĺ“il par l'ouverture et constata qu'en effet, une personne semblait s'affairer au sol, absorbĂ©e par il ne savait quel machination tordue. La lumière Ă©tait tĂ©nue mais il parvint Ă  reconnaĂ®tre cette silhouette. Il fut soulagĂ© quoique perplexe. LorelaĂŻ... Il entra dans la bibliothèque, prenant soin de fermer la porte. Il s'approcha d'elle, Ă©mettant un lĂ©ger toussotement pour manifester son Salut Loly ! », une pointe d'agacement dans la voix.*Mil' Gast ! Qu'est-ce qu'elle fiche ici?* Il l'avait surnommĂ© ainsi tout haut. Habituellement, il le faisait en son for intĂ©rieur. Toujours suivi par un air en tĂŞte, celui d'un dessin animĂ© de son enfance, oĂą il remplaçait les mots la vie » par Loly »... Trahi par ses propres pensĂ©es, mais pour l'heure, c'Ă©tait plutĂ´t un crissement de couteau glissant sur un tableau noir qui rĂ©sonnait en lui. LorelaĂŻ PeonyDirectionSerdaigle Re La nuit dans la bibliothèqueLorelaĂŻ Peony, le Lun 12 FĂ©v - 1643 Trop occupĂ©e Ă  chercher le chapitre sur l'exorcisme, LorelaĂŻ ne vit pas arriver une petite tĂŞte bouclĂ©e derrière son raclement de gorge, elle sursauta, posant sa main sur sa bouche, au risque de signaler sa prĂ©sence par un cri aussi effroyable que la peur qu'elle venait d'avoir. Si quelqu'un la trouvait assise au milieu de la bibliothèque, un livre presque noir entre les mains et un hibou enfournĂ© dans un sac, elle Ă©tait très mal partie pour se justifier. Très, très mal pourquoi, quand elle se rendit compte qu'il ne s'agissait que d'un petit bleu, qui en plus ne semblait pas dangereux, elle se ressaisit et s'approcha de lui, Ă  pas de Qu'est-ce que tu fais ici Nonoc ? demanda-t-elle Ă  voix basse. Tu devrais ĂŞtre dans ton dortoir Ă  cette heure-ci. Et si on t'attrapait !Oui, parce que LorelaĂŻ se croyait bien placĂ©e pour faire la moral au jeune homme sur ce qu'il avait le droit ou non de faire. Elle n'Ă©tait pas prĂ©fète, mais elle ne voulait pas qu'il ait des problèmes. Elle, si elle Ă©tait sortit, si elle avait enfreint le rĂ©glement, c'Ă©tait pour une question de vie ou de mort. Elle n'avait pas le choix. Bon, certains pourraient arguer que ce n'Ă©tait pas la première fois qu'elle sortait après le couvre-feu, et demander, Ă  juste titre, si Ă  chaque sorti il Ă©tait question d'y perdre la vie. Mais passons, Ă  cet instant, elle Ă©tait convaincue de sa lĂ©gitimitĂ© Ă  ĂŞtre prĂ©sente au milieu de la bibliothèque, et pas le petit cri de dĂ©tresse s'Ă©leva du sac derrière les deux Serdaigle et LorelaĂŻ regarda son camarade avec un air sĂ©vère qu'elle n'avait pas l'habitude de Ecoute GuĂ©.. GuĂ©tho... Ecoute Nonoc ! J'ai des affaires sĂ©rieuses en jeu, dit-elle en chuchotant, mais sur un ton ferme. Tu peux pas rester fallait vraiment qu'il s'en aille et qu'il la laisse tranquille, parce qu'elle n'avait pas beaucoup de temps pour exorciser le hibou. GuĂ©thenoc UrsionSerdaigle Re La nuit dans la bibliothèqueGuĂ©thenoc Ursion, le Lun 12 FĂ©v - 2121 Au Moyen-Age Moldu, les chevaliers et autres seigneurs fĂ©odaux, de part l'appui de la Loi salique et du fait du Dogme de l’Église, avaient prĂ©sĂ©ance sur l'Indigne CrĂ©ature qu'Ă©tait la femme. S'ensuivait tout un ensemble de Règles, d'Us et de Coutumes, le Droit de Cuissage n'en Ă©tait qu'un piètre exemple. Certes, GuĂ©thenoc n'avait pas Ă©tĂ© Ă©levĂ© selon ses canons et principes douteux mais il tentait vaille que vaille de respecter un semblant de Code d'Honneur. VoilĂ  pourquoi il pensa donc Un digne chevalier ne se laisse pas rabrouer de la sorte, et encore moins dicter sa conduite. Encore moins par une demoiselle ! ».ĂŠtes-vous sĂ»r de cela, Fils ?*Non, Mère, d'accord, Mère...*C'est mieux... Gentils garçon...NĂ©anmoins, il n'Ă©tait pas forcĂ©ment content. Si lui n'avait pas le droit de se trouver ici et maintenant, au nom de quoi LorelaĂŻ s'exemptait des obligations auxquelles il Ă©tait assujettis ? Il se demandait bien quelles affaires sĂ©rieuses l'avait amenĂ©es Ă  enfreindre elle aussi le Pontifiant Règlement. Dans tout les cas, son projet Ă  lui tombait bel et bien Ă  l'eau par la prĂ©sence de sa consĹ“ur. A bien regarder, tout cela fleurait fort la loucherie. Il fronça des sourcils et la Permets-moi, Ă” Brillantissime Muse, de te demander... ». Au diable le langage ampoulĂ© ! Et toi, qu'as-tu Ă  faire ici ? ».Ses yeux mirèrent la scène et remarquèrent l'ouvrage Ă  terre ce qui n'Ă©tait guère une place pour un grimoire, soit dit en passant, puis s’ouvrirent comme des soucoupes quand un cri mit fin Ă  la diarrhĂ©e interrogatoire qu'il s'apprĂŞtait Ă  rĂ©pandre. Il se prĂ©cipita vers un sac posĂ© non loin de lĂ , laissant en plan la Serdy d'Elite. A n'en point douter, Ă  moins d'ĂŞtre atteint d'une foldinguerie manifeste, ça bougeait Ă  l'intĂ©rieur. L'avait-il interrompue alors qu'elle s’apprĂŞtait Ă  vendre son âme au Malin ? Comptait-elle s'adonner Ă  une cĂ©rĂ©monie hĂ©rĂ©tique, impliquant un sacrifice ? Il ne pouvait le Dis moi sĂ©ance tenante ce qu'il se passe ! Et ne rĂŞve pas, je ne bougerai pas d'un iota ! ».Peut-ĂŞtre jamais ne s'Ă©tait-il senti aussi dĂ©terminĂ©. Il connaĂ®trait le fin mot de cette histoire. Re La nuit dans la bibliothèqueContenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum Retour Ă  l'aperçu 29 juin 2022, 7 Commentaires La Suisse a connu le deuxième mois de juin le plus chaud depuis le dĂ©but des mesures en 1864. Sur plusieurs sites de mesures, les valeurs maximales journalières ont atteint de nouveaux records pour un mois de juin. Localement, il a Ă©tĂ© enregistrĂ© l'une des pĂ©riodes de trois jours les plus chaudes pour un mois de juin. Les prĂ©cipitations sont souvent restĂ©es dĂ©ficitaires, tandis que l’ensoleillement s’est gĂ©nĂ©ralement montrĂ© excĂ©dentaire. En pleine canicule le 19 juin 2022 près de Bubikon, dans l’Oberland zurichois. Photo Franziska Hoff. Un mois de juin très chaud En moyenne nationale, la tempĂ©rature du mois de juin a dĂ©passĂ© de 2,7 °C la norme 1991-2020. Les mois de juin 2019 et 2017, avec 2,6 °C au-dessus de la norme, avaient Ă©tĂ© tout aussi chauds. Depuis le dĂ©but des relevĂ©s en 1864, seul juin 2003 avait Ă©tĂ© nettement plus chaud avec 4,7 °C au-dessus de la norme. Depuis le dĂ©but des mesures en 1864 jusqu'Ă  la fin du 20e siècle, le mois de juin a prĂ©sentĂ© une Ă©volution moyenne assez Ă©quilibrĂ©e, sans tendance marquĂ©e Ă  long terme vers des valeurs mensuelles plus Ă©levĂ©es ou plus basses. Au passage au 21e siècle, la tempĂ©rature en juin a brusquement augmentĂ© d'environ 2 °C. D'autres mois ont montrĂ© le fort rĂ©chauffement dès la fin des annĂ©es 1980. Figure 1. La tempĂ©rature en juin en Suisse depuis le dĂ©but des mesures en 1864. Le point rouge montre juin 2022 15,3 °C. La ligne verte interrompue montre la norme 1991-2020 12,6 °C, la ligne rouge montre la moyenne glissante sur 20 ans. Un dĂ©but de mois orageux La première dĂ©cade de juin a Ă©tĂ© principalement orageuse. Jusqu'au 9 juin, il y a eu des averses quotidiennes quelque part en Suisse. Les 3, 5, 7 et 8 juin, des averses se sont produites sur une grande partie du territoire des deux cĂ´tĂ©s des Alpes. Au Nord des Alpes, certains sites ont mesurĂ© des pluies quotidiennes du 1er au 9 juin, comme Neuchâtel et La Chaux-de-Fonds ou encore Schaffhouse et Wädenswil. Le 5 juin, la station de Vaduz a mesurĂ© 21,0 mm de pluie en 10 minutes, soit sa quantitĂ© la plus Ă©levĂ©e depuis le dĂ©but des mesures automatiques en 1981. Le 5 juin, la plus grande surface du mois touchĂ©e par la grĂŞle a Ă©tĂ© enregistrĂ©e. La surface avec une probabilitĂ© de grĂŞle supĂ©rieure Ă  80 % a concernĂ© 4772 km2. Les 15, 21, 22 et 23 juin, de grandes surfaces de la Suisse ont Ă©galement Ă©tĂ© touchĂ©es par la grĂŞle. Le mois de juin 2022 a connu au total 13 jours de grĂŞle Ă©tat au On considère qu'il s'agit d'une journĂ©e de grĂŞle lorsque la surface prĂ©sentant une probabilitĂ© de grĂŞle supĂ©rieure Ă  80 % atteint au moins 100 km2 dans toute la Suisse. Situation anticyclonique persistante A partir du 10 juin, une longue pĂ©riode anticyclonique gĂ©nĂ©ralement ensoleillĂ©e s'est installĂ©e. Jusqu'au 15 juin, la Suisse s’est trouvĂ©e sous l’influence d’un anticyclone sur l’Atlantique. A partir du 16 juin, un anticyclone d’origine subtropicale s’est entendu de la MĂ©diterranĂ©e jusqu’en Europe centrale. Il a fait affluer de l’air très chaud en direction de la Suisse. Violents orages A partir du 22 juin, de l’air chaud, humide et instable en provenance du sud-ouest a dĂ©terminĂ© le temps en Suisse. Localement, de fortes pluies orageuses sont tombĂ©es en peu de temps au Nord des Alpes. En l'espace de 10 minutes, Lucerne a reçu 19,1 mm 22 juin et Fahy 20,5 mm 26 juin. Sur les deux sites, il s'agit de la quantitĂ© la plus Ă©levĂ©e en 10 minutes depuis le dĂ©but des mesures automatiques en 1981. Le 23 juin, La FrĂ©taz a enregistrĂ© 27,4 mm, soit la deuxième valeur la plus Ă©levĂ©e en 10 minutes depuis le dĂ©but des mesures en 1981. Au Sud des Alpes, la station de Bellinzone a mesurĂ© la somme de 10 minutes la plus Ă©levĂ©e du mois avec 23,8 mm 28 juin, suivie de Crana-Torricella avec 21,3 mm 24 juin. Sur ces deux sites de mesures, les sommes de 10 minutes ne sont toutefois disponibles que depuis 2016. Pour Bellinzone, il s'agit de la valeur de 10 minutes la plus Ă©levĂ©e durant cette pĂ©riode. Crana-Torricella, en revanche, a dĂ©jĂ  mesurĂ© bien plus de 30 mm. Localement, les pluies ont persistĂ© pour atteindre des quantitĂ©s journalières considĂ©rables. La valeur la plus Ă©levĂ©e a Ă©tĂ© enregistrĂ©e Ă  Magadino-Cadenazzo avec près de 100 mm le 23 juin. Cela n'a toutefois rien d'exceptionnel pour le Sud des Alpes. Au Nord des Alpes, les sommes journalières les plus Ă©levĂ©es ont Ă©tĂ© enregistrĂ©es Ă  Koppigen avec 62,3 mm 23 juin et Ă  Mosen avec 64,4 mm 24 juin. De tels cumuls journaliers sont attendus tous les 5 Ă  10 ans environ sur ces sites de mesures. PrĂ©cipitations supĂ©rieures Ă  la norme uniquement dans certaines rĂ©gions Les prĂ©cipitations mensuelles ont atteint ou dĂ©passĂ© 80 % de la norme 1991-2020 dans de nombreuses rĂ©gions. En Suisse occidentale, le dĂ©ficit pluviomĂ©trique a rĂ©gionalement Ă©tĂ© supĂ©rieur Ă  20 %. Il a mĂŞme Ă©tĂ© supĂ©rieur Ă  50 % sur le Sud du Tessin. Sur le Plateau central en particulier et en Ajoie, les valeurs ont atteint l’équivalent de 100 Ă  150 % de la norme 1991-2020, et le Sud des Alpes a Ă©galement connu des valeurs rĂ©gionalement de 110 Ă  160 % de la norme. Figure 3. RĂ©partition spatiale des sommes de prĂ©cipitations en juin 2022, reprĂ©sentĂ©e en % de la norme 1991-2020. Fonte extrĂŞmement rapide de la neige Au Weissfluhjoch champ de mesure de la neige Ă  2536 m d'altitude, le manteau neigeux hivernal a disparu très tĂ´t. Dès le 6 juin 2022, une hauteur de neige de 0 cm a Ă©tĂ© signalĂ©e. Il s'agit de la deuxième fonte de la neige la plus prĂ©coce depuis le dĂ©but des mesures en 1937. En 1947, annĂ©e record, la fonte de la neige avait eu lieu 3 jours plus tĂ´t donnĂ©es SLF Davos. En 2011 et en 2007, la disparition du manteau neigeux hivernal au Weissfluhjoch s’est produite le 9 juin, soit lĂ©gèrement plus tard que cette annĂ©e. Il y a un an, il y avait encore plus de 2 m de neige sur le Weissfluhjoch le 6 juin, ceci après un printemps frais et humide. La neige n'avait disparu que le 7 juillet 2021, soit un mois plus tard que cette annĂ©e. La fonte de la neige a Ă©tĂ© extrĂŞmement tardive en Ă©tĂ© 1980 le manteau neigeux hivernal n'avait disparu que le 16 aoĂ»t. Il s'agissait de la fonte de neige la plus tardive de ces 60 dernières annĂ©es. Floraison très rapide des tilleuls Ă  grandes feuilles Fin mai, les tilleuls Ă  grandes feuilles ont commencĂ© Ă  fleurir dans les rĂ©gions de basse altitude du Tessin et de la Suisse romande. Dès le dĂ©but du mois de juin, ils ont Ă©galement fleuri en Suisse alĂ©manique, dĂ©gageant leur doux parfum. Le moment de la floraison du tilleul Ă  grandes feuilles dĂ©pend de la tempĂ©rature printanière de mars Ă  mai ou, une annĂ©e oĂą la floraison est plus tardive, de mars Ă  juin. Le printemps de cette annĂ©e a Ă©tĂ© le quatrième le plus doux depuis le dĂ©but des mesures en 1864. Les tilleuls Ă  grandes feuilles ont ainsi fleuri 10 jours plus tĂ´t que la moyenne de la pĂ©riode 1991-2020. Une floraison encore plus prĂ©coce des tilleuls Ă  grandes feuilles n'a Ă©tĂ© observĂ©e qu'en 2007, 2011 et 2018 et ils ont fleuri Ă  peine plus tard en 2003. Les tilleuls Ă  petites feuilles, qui ont commencĂ© Ă  fleurir un peu plus d'une semaine après les tilleuls Ă  grandes feuilles, ont Ă©galement Ă©tĂ© en avance de 10 jours. Les vignes ont Ă©galement fleuri avec 11 jours d'avance. Comme pour les tilleuls, la floraison a commencĂ© fin mai au Tessin et en Suisse romande. Elle s'est poursuivie en juin en Suisse alĂ©manique. Le sureau noir a fleuri dès le mois de mai dans la plupart des stations d'observation. En juin, il n'a gĂ©nĂ©ralement plus Ă©tĂ© observĂ© qu'Ă  des altitudes supĂ©rieures Ă  1000 mètres. En moyenne sur l'ensemble des stations, le sureau noir a fleuri 8 jours plus tĂ´t que la moyenne de la pĂ©riode 1991-2020 et près de 2 semaines plus tĂ´t que l'annĂ©e dernière. Sur le Plateau, les premières baies mĂ»res du sureau rouge ont pu ĂŞtre observĂ©es en juin, bien plus tĂ´t que la normale. A partir du 10 juin, la pĂ©riode des foins a prĂ©valu et a surtout Ă©tĂ© mise Ă  profit en altitude au-dessus de 1000 mètres. Mais le temps chaud et ensoleillĂ© a Ă©galement Ă©tĂ© mis Ă  profit en plaine pour rĂ©colter une nouvelle fois du foin. Figure 4. A la mi-juin, les cerises des arbres Ă  haute tige ont Ă©tĂ© rĂ©coltĂ©es dans le Fricktal. Parallèlement, le temps chaud et ensoleillĂ© a Ă©tĂ© mis Ă  profit pour faire une nouvelle fois les foins. Photo Regula Gehrig Le bulletin dĂ©finitif de juin 2022 sera disponible Ă  partir du 11 juillet 2022 dans la rubrique rapports climatiques. Retour Ă  l'aperçu DĂ©but de la page Dernière modification 29 Un peu instable 30 Un peu instable 31 Assez stable 1 Un peu instable ~ l/m2 13% 2 Un peu instable 3 Assez stable 4 Un peu instable Le 29 Aug sera chaud, et le temps sera instable, avec fort risque de tempĂŞte. Le ciel sera clair 1% nuages de moyenne altitude entre 2 000 et 6 000 mètres Altostratus, Altocumulus La minimale sera de 22 degrĂ©s Celsius, et la maximale de 29 degrĂ©s Celsius. Le vent sera faible, et la pression atmosphĂ©rique sera en moyenne de 1013 mb. L’humiditĂ© relative sera haute. Lundi MĂ©tĂ©o TempĂ©rature °C TempĂ©rature ressentie °C TempĂ©rature bas haut °C Vent Rafales de vent Pression atmosphĂ©rique HumiditĂ© relative Isotherme 0°C Boundary Layer Index de chaleur 0800 22 °C 23 °C 9 km/h 12 km/h 1014 mb 5,027 m 298 m AoĂ»t, 29 0800 Un peu instable 1100 27 °C 28 °C 15 km/h 17 km/h 1014 mb 5,150 m 1,372 m AoĂ»t, 29 1100 Un peu instable 1400 29 °C 31 °C 15 km/h 17 km/h 1012 mb 5,206 m 2,533 m 1/4 AoĂ»t, 29 1400 Un peu instable 1700 28 °C 30 °C 18 km/h 20 km/h 1011 mb 5,239 m 1,843 m AoĂ»t, 29 1700 Un peu instable 2000 23 °C 24 °C 13 km/h 14 km/h 1013 mb 5,180 m 42 m AoĂ»t, 29 2000 Un peu instable 2300 22 °C 23 °C 10 km/h 10 km/h 1014 mb 4,956 m 24 m AoĂ»t, 29 2300 Un peu instable Le 30 Aug sera chaud, et le temps sera instable, avec fort risque de tempĂŞte. Le ciel sera lĂ©gèrement nuageux 15% nuages de moyenne altitude entre 2 000 et 6 000 mètres Altostratus, Altocumulus La minimale sera de 20 degrĂ©s Celsius, et la maximale de 31 degrĂ©s Celsius. Le vent sera modĂ©rĂ©, et la pression atmosphĂ©rique sera en moyenne de 1014 mb. L’humiditĂ© relative sera modĂ©rĂ©e. Mardi MĂ©tĂ©o TempĂ©rature °C TempĂ©rature ressentie °C TempĂ©rature bas haut °C Vent Rafales de vent Pression atmosphĂ©rique HumiditĂ© relative Isotherme 0°C Boundary Layer Index de chaleur 0200 21 °C 22 °C 9 km/h 10 km/h 1014 mb 4,795 m 14 m AoĂ»t, 30 0200 Un peu instable 0500 20 °C 21 °C 7 km/h 8 km/h 1014 mb 4,763 m 12 m AoĂ»t, 30 0500 Un peu instable 0800 24 °C 26 °C 9 km/h 15 km/h 1015 mb 4,790 m 302 m AoĂ»t, 30 0800 Un peu instable 1100 29 °C 31 °C 16 km/h 19 km/h 1015 mb 4,764 m 1,421 m AoĂ»t, 30 1100 Un peu instable 1400 30 °C 33 °C 15 km/h 16 km/h 1013 mb 4,739 m 2,940 m AoĂ»t, 30 1400 Un peu instable 1700 30 °C 32 °C 16 km/h 20 km/h 1011 mb 4,760 m 2,703 m AoĂ»t, 30 1700 Un peu instable 2000 21 °C 21 °C 24 km/h 24 km/h 1017 mb 4,789 m 176 m AoĂ»t, 30 2000 Un peu instable 2300 21 °C 21 °C 12 km/h 30 km/h 1017 mb 4,793 m 201 m AoĂ»t, 30 2300 Assez stable Le 31 Aug sera ambiance confortable, et le temps sera constante, avec risque de tempĂŞte. Le ciel sera partiellement nuageux 8% nuages de haute altitude au-dessus de 6 000 mètres Cirrus, Cirrus uncinus, Cirrostratus, Cirrocumulus 2% nuages de moyenne altitude entre 2 000 et 6 000 mètres Altostratus, Altocumulus 13% nuages de basse altitude au-dessous de 2 000 mètres Cumulus, Stratocumulus, Stratus, Fractostratus La minimale sera de 17 degrĂ©s Celsius, et la maximale de 26 degrĂ©s Celsius. Le vent sera fort, et la pression atmosphĂ©rique sera en moyenne de 1015 mb. L’humiditĂ© relative sera haute. Mercredi MĂ©tĂ©o TempĂ©rature °C TempĂ©rature ressentie °C TempĂ©rature bas haut °C Vent Rafales de vent Pression atmosphĂ©rique HumiditĂ© relative Isotherme 0°C Boundary Layer Index de chaleur 0200 18 °C 18 °C 13 km/h 20 km/h 1017 mb 5,014 m 103 m AoĂ»t, 31 0200 Assez stable 0500 17 °C 17 °C 11 km/h 21 km/h 1017 mb 5,104 m 119 m AoĂ»t, 31 0500 Assez stable 0800 20 °C 19 °C 21 km/h 40 km/h 1017 mb 5,108 m 908 m AoĂ»t, 31 0800 Assez stable 1100 24 °C 25 °C 35 km/h 39 km/h 1015 mb 4,959 m 1,328 m AoĂ»t, 31 1100 Un peu instable 1400 26 °C 27 °C 29 km/h 32 km/h 1013 mb 4,911 m 2,132 m AoĂ»t, 31 1400 Un peu instable 1700 24 °C 25 °C 33 km/h 34 km/h 1013 mb 4,973 m 1,407 m AoĂ»t, 31 1700 Un peu instable 2000 20 °C 21 °C 18 km/h 29 km/h 1014 mb 5,023 m 161 m AoĂ»t, 31 2000 Un peu instable 2300 19 °C 19 °C 14 km/h 15 km/h 1015 mb 5,113 m 59 m AoĂ»t, 31 2300 Un peu instable Le 1 Sep sera ambiance confortable, et le temps sera lĂ©gèrement instable, avec risque de tempĂŞte. Il y a 13% de chances de pluie faible accompagnĂ©es d’averses. Le ciel sera couvert 59% nuages de haute altitude au-dessus de 6 000 mètres Cirrus, Cirrus uncinus, Cirrostratus, Cirrocumulus 9% nuages de moyenne altitude entre 2 000 et 6 000 mètres Altostratus, Altocumulus 26% nuages de basse altitude au-dessous de 2 000 mètres Cumulus, Stratocumulus, Stratus, Fractostratus 1% nuages convectifs Cumulonimbus La minimale sera de 17 degrĂ©s Celsius, et la maximale de 26 degrĂ©s Celsius. Le vent sera modĂ©rĂ©, et la pression atmosphĂ©rique sera en moyenne de 1013 mb. L’humiditĂ© relative sera haute. Jeudi MĂ©tĂ©o PrĂ©cipitation mm probabilitĂ© Averses % des PrĂ©cipitation TempĂ©rature °C TempĂ©rature ressentie °C TempĂ©rature bas haut °C Vent Rafales de vent Pression atmosphĂ©rique HumiditĂ© relative Isotherme 0°C Boundary Layer Index de chaleur 0200 18 °C 18 °C 10 km/h 19 km/h 1015 mb 5,037 m 95 m Sept., 1 0200 Un peu instable 0500 18 °C 18 °C 8 km/h 14 km/h 1015 mb 4,997 m 62 m Sept., 1 0500 Un peu instable 0800 20 °C 20 °C 15 km/h 22 km/h 1015 mb 4,998 m 644 m Sept., 1 0800 Un peu instable 1100 24 °C 24 °C 27 km/h 31 km/h 1015 mb 4,916 m 1,447 m Sept., 1 1100 Un peu instable 1400 25 °C 27 °C 24 km/h 26 km/h 1012 mb 4,913 m 1,896 m Sept., 1 1400 Un peu instable 1700 24 °C 24 °C 22 km/h 26 km/h 1012 mb 4,935 m 944 m Sept., 1 1700 Un peu instable 2000 20 °C 21 °C 13 km/h 18 km/h 1013 mb 4,940 m 13 m Sept., 1 2000 Un peu instable 2300 13% 100% 19 °C 20 °C 8 km/h 11 km/h 1014 mb 5,014 m 11 m Sept., 1 2300 Un peu instable Le 2 Sep sera chaud, et le temps sera lĂ©gèrement instable, avec risque de tempĂŞte. Le ciel sera partiellement nuageux 21% nuages de haute altitude au-dessus de 6 000 mètres Cirrus, Cirrus uncinus, Cirrostratus, Cirrocumulus 4% nuages de moyenne altitude entre 2 000 et 6 000 mètres Altostratus, Altocumulus La minimale sera de 17 degrĂ©s Celsius, et la maximale de 29 degrĂ©s Celsius. Le vent sera modĂ©rĂ©, et la pression atmosphĂ©rique sera en moyenne de 1012 mb. L’humiditĂ© relative sera haute. Vendredi MĂ©tĂ©o TempĂ©rature °C TempĂ©rature ressentie °C TempĂ©rature bas haut °C Vent Rafales de vent Pression atmosphĂ©rique HumiditĂ© relative Isotherme 0°C Boundary Layer Index de chaleur 0200 18 °C 19 °C 7 km/h 8 km/h 1013 mb 5,003 m 11 m Sept., 2 0200 Un peu instable 0500 17 °C 18 °C 6 km/h 7 km/h 1014 mb 4,946 m 11 m Sept., 2 0500 Un peu instable 0800 21 °C 22 °C 5 km/h 9 km/h 1014 mb 5,003 m 334 m Sept., 2 0800 Un peu instable 1100 25 °C 27 °C 11 km/h 15 km/h 1013 mb 5,148 m 1,331 m Sept., 2 1100 Un peu instable 1400 28 °C 30 °C 15 km/h 21 km/h 1011 mb 5,195 m 2,011 m Sept., 2 1400 Un peu instable 1700 29 °C 31 °C 21 km/h 21 km/h 1010 mb 5,298 m 2,393 m Sept., 2 1700 Un peu instable 2000 23 °C 24 °C 12 km/h 18 km/h 1013 mb 4,987 m 12 m Sept., 2 2000 Un peu instable 2300 22 °C 22 °C 13 km/h 18 km/h 1014 mb 5,223 m 11 m Sept., 2 2300 Un peu instable Le 3 Sep sera chaud, et le temps sera lĂ©gèrement instable, avec risque de tempĂŞte. Le ciel sera lĂ©gèrement nuageux 1% nuages de haute altitude au-dessus de 6 000 mètres Cirrus, Cirrus uncinus, Cirrostratus, Cirrocumulus 13% nuages de moyenne altitude entre 2 000 et 6 000 mètres Altostratus, Altocumulus La minimale sera de 19 degrĂ©s Celsius, et la maximale de 30 degrĂ©s Celsius. Le vent sera fort, et la pression atmosphĂ©rique sera en moyenne de 1013 mb. L’humiditĂ© relative sera modĂ©rĂ©e. Samedi MĂ©tĂ©o TempĂ©rature °C TempĂ©rature ressentie °C TempĂ©rature bas haut °C Vent Rafales de vent Pression atmosphĂ©rique HumiditĂ© relative Isotherme 0°C Boundary Layer Index de chaleur 0200 20 °C 21 °C 9 km/h 9 km/h 1013 mb 5,404 m 13 m Sept., 3 0200 Un peu instable 0500 19 °C 20 °C 8 km/h 9 km/h 1014 mb 5,199 m 13 m Sept., 3 0500 Assez stable 0800 23 °C 25 °C 16 km/h 40 km/h 1014 mb 5,272 m 987 m Sept., 3 0800 Assez stable 1100 27 °C 29 °C 36 km/h 44 km/h 1014 mb 5,279 m 2,187 m Sept., 3 1100 Assez stable 1400 29 °C 31 °C 32 km/h 39 km/h 1013 mb 5,207 m 2,713 m Sept., 3 1400 Assez stable 1700 28 °C 30 °C 28 km/h 38 km/h 1011 mb 5,287 m 2,524 m Sept., 3 1700 Un peu instable 2000 23 °C 23 °C 16 km/h 19 km/h 1014 mb 4,646 m 26 m Sept., 3 2000 Un peu instable 2300 21 °C 22 °C 10 km/h 11 km/h 1015 mb 4,794 m 20 m Sept., 3 2300 Un peu instable Le 4 Sep sera ambiance confortable, et le temps sera lĂ©gèrement instable, avec risque de tempĂŞte. Le ciel sera clair 6% nuages de haute altitude au-dessus de 6 000 mètres Cirrus, Cirrus uncinus, Cirrostratus, Cirrocumulus La minimale sera de 18 degrĂ©s Celsius, et la maximale de 28 degrĂ©s Celsius. Le vent sera fort, et la pression atmosphĂ©rique sera en moyenne de 1012 mb. L’humiditĂ© relative sera haute. Dimanche MĂ©tĂ©o TempĂ©rature °C TempĂ©rature ressentie °C TempĂ©rature bas haut °C Vent Rafales de vent Pression atmosphĂ©rique HumiditĂ© relative Isotherme 0°C Boundary Layer Index de chaleur 0200 19 °C 20 °C 12 km/h 13 km/h 1015 mb 4,905 m 33 m Sept., 4 0200 Un peu instable 0500 18 °C 19 °C 11 km/h 32 km/h 1014 mb 4,948 m 138 m Sept., 4 0500 Un peu instable 0800 22 °C 22 °C 26 km/h 47 km/h 1014 mb 4,993 m 968 m Sept., 4 0800 Un peu instable 1100 26 °C 27 °C 37 km/h 49 km/h 1013 mb 4,969 m 1,618 m Sept., 4 1100 Un peu instable 1400 28 °C 30 °C 38 km/h 43 km/h 1011 mb 4,942 m 2,068 m Sept., 4 1400 Un peu instable 1700 26 °C 27 °C 34 km/h 43 km/h 1010 mb 4,996 m 1,925 m Sept., 4 1700 Un peu instable 2000 22 °C 22 °C 27 km/h 41 km/h 1012 mb 4,995 m 295 m Sept., 4 2000 Un peu instable 2300 19 °C 19 °C 18 km/h 27 km/h 1014 mb 5,025 m 127 m Sept., 4 2300 Un peu instable Le 5 Sep sera ambiance confortable, et le temps sera . Le ciel sera 59% nuages de haute altitude au-dessus de 6 000 mètres Cirrus, Cirrus uncinus, Cirrostratus, Cirrocumulus 26% nuages de moyenne altitude entre 2 000 et 6 000 mètres Altostratus, Altocumulus 36% nuages de basse altitude au-dessous de 2 000 mètres Cumulus, Stratocumulus, Stratus, Fractostratus La minimale sera de 17 degrĂ©s Celsius, et la maximale de 25 degrĂ©s Celsius. Le vent sera très fort, et la pression atmosphĂ©rique sera en moyenne de 5059 mb. L’humiditĂ© relative sera . Lundi MĂ©tĂ©o TempĂ©rature °C TempĂ©rature ressentie °C TempĂ©rature bas haut °C Vent Rafales de vent Pression atmosphĂ©rique HumiditĂ© relative Isotherme 0°C Boundary Layer Index de chaleur 0200 18 °C 18 °C 15 km/h 23 km/h 1013 mb 4,780 m 101 m Sept., 5 0200 Un peu instable 0500 17 °C 17 °C 15 km/h 33 km/h 1013 mb 4,908 m 187 m Sept., 5 0500 Assez stable 0800 20 °C 19 °C 34 km/h 40 km/h 1013 mb 4,864 m 752 m Sept., 5 0800 Un peu instable 1100 24 °C 25 °C 42 km/h 43 km/h 1012 mb 4,925 m 1,344 m Sept., 5 1100 Un peu instable 1400 25 °C 26 °C 36 km/h 43 km/h 1011 mb 4,785 m 1,502 m Sept., 5 1400 Un peu instable

un peu de chaleur en dessus de page